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Jeu historique

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Jeu historique - Page 31 Empty Re: Jeu historique

Message par Invité Jeu 9 Oct - 18:55

Jeu historique - Page 31 3862193178 les potos

R comme REMUS ET ROMULUS

Romulus et son frère jumeau Rémus sont les fils de la vestale Rhéa Silvia et du dieu Mars. Rhéa Silvia est la fille de Numitor, roi de la légendaire ville latine d'Albe la Longue (fondée par Ascagne, fils d'Énée) et dépossédé du trône par son frère Amulius. Celui-ci, craignant que ses petits-neveux ne réclament leur dû en grandissant, prend prétexte qu'ils sont les fils d'une vestale, qui avait fait vœu de chasteté, et ordonne qu'on les jette dans le Tibre.

Mais l'ordre est mal exécuté, les nouveau-nés sont abandonnés dans un panier sur le fleuve, survivent (par la probable protection des dieux), et sont découverts sous un figuier sauvage (le Ficus Ruminalis) situé devant l'entrée de la grotte du Lupercale, au pied du Palatin, par une louve qui les allaita8,9. Un pivert, l'oiseau de Mars10,11, veillait sur eux.

Tite-Live12 et Plutarque13 rapportent une autre explication de la légende : les jumeaux auraient été découverts dans la grotte du Lupercale par le berger Faustulus, gardien des troupeaux d'Amulius. Celui-ci les aurait confiés aux bons soins de sa femme Larentia, une prostituée — que les bergers appelaient lupa — 14,15. Ce serait donc par un jeu symbolique que d'autres auteurs latins auraient créé le mythe de la louve biologique mère de Rémus et Romulus, tirant parti de la puissance redoutable de l'animal au profit de leur cité.

Selon une autre version rapportée par Plutarque dans La Vie de Romulus les jumeaux seraient les enfants d'une esclave et du dieu Mars. Une curieuse histoire du sexe viril du Dieu Mars descendu par la cheminée et flottant dans la pièce est avancée, l'esclave remplaçant la princesse Rhea Silvia qui refusait d'assouvir le désir du Dieu. En fait ils seraient d'Amulius, alors roi d'Albe-la-Longue, puis confiés au berger Faustulus.

Plus tard, les jumeaux, à qui est révélé le secret de leur naissance, tueront Amulius (égorgé par Rémus selon certains, transpercé par l'épée de Romulus selon d'autres) et restaureront leur grand-père Numitor sur le trône d'Albe.

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Message par THIERRY 25 Mar 4 Nov - 15:39

Jeu historique - Page 31 3862193178 


Melchiorre Cesarotti (Littérateur)



Naissance : 15 mai 1730, Padoue, Italie
Date de décès : 4 novembre 1808
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Message par Invité Mar 4 Nov - 19:43

Jeu historique - Page 31 265389628 LES POTOS

L comme LAMARTINE vous connaissez



Un languide, n'est-ce pas ? Un mandoliniste assomant. Le pleurard à nacelle dont parlait Musset. Le responsable, comme disait Flaubert, de tous les embêtements bleuâtres du lyrisme poitrinaire.
Je sais bien que c'est là l'image usuelle que l'on se fait de Lamartine.
Il n'y en a pas de plus inexacte.

Oui, il a eu le tort de publier deux fois, coup sur coup (1820 et 1823), des vers où il prétendait "se mourrir". Il avait alors trente ans et il mourra presque octogénaire. Oui, sa prose est souvent molle, et son vocabulaire poétique fait, aujourd'hui, "fané", terriblement. Etranglé par la forme vieille, écrivait Rimbaud, en 1871. Mais le même rimbaud, dans la même phrase, ne l'en reconnaissait pas moins voyant. Et l'on sait que, pour Rimbaud, c'était là le mot clé. Pas de poésie sans "voyance". Lamartine "voyant", selon Rimbaud, est donc, à ses yeux, un poète authentique. Et je me souviens de Claudel 1942, un Claudel désœuvré, qui n'avait jamais lu Lamartine, qui s'y était mis parce qu'il ne savait quoi lire, et qui, tout stupéfait, fixant sur moi ses yuex gris, me disait, n'en revenant pas : "C'est tout de même vrai, ce Lamartine, avec ses défauts, un poète, oui, un poète..."

On songe toujours, quand il s'agit de lui, au Lac, devenu désastreux par "l'adaptation musicale" dont ce poème là fut victime. Et à l'Isolement et au Vallon, à tout ce qui permit à Jules Lemaitre de divertir son auditoire, jadis, en murmurant, avec ce sourire qui lui valait des adorations, que si Victor Hugo, c'est "Boum-Boum", Lamartine, hélas, c'est "Gnan-Gnan". A croire que l'on ne sait même pas que, si Lamartine est l'auteur des Méditations et de Jocelyn, il l'est aussi de ces Psaumes modernes (premier titre de ses Harmonies) où Novissima Verba répond mal à la définition susdite, et des Révolutions et des vers A Némésis et de cette extraordinaire Chute d'un ange qui n'est précisément pas de la guimauve. Une "corde d'airain", chez lui aussi. Une voix puissante et mâle. Et si c'est le même homme qui est capable d'écrire Le Désert et La Vigne et la Maison, c'est que "rien n'est si doux que ce qui est fort" (ces mots là sont de lui; on les trouve dans son Nouveau voyage en Orient, et c'est de l'océan qu'il s'agit).

Un païen qui avait besoin de soleil, qui ouvrait sa poitrine à tous les souffles de la terre et du ciel. Et en même temps un être incapable de borner ses vœux aux délices de l'assouvissement. Terrestre, terrien ("terreux", eût dit Péguy); et, à la fois, homme de désir, avec une réclamation en lui, viscérale, une revendication farouche de l'infini, de l'éternel, de ce qui est.

Il avait possédé des femmes et des femmes, quand, à vingt-six ans, un choc profond l'ébranle. celle qu'il tient maintenant dans ses bras va mourir. Elle le sait. Il le sait. Elle meurt en effet. (Il l'avait eue vivante, ardente, chaude et nue contre lui, au mois d'octobre 1816, pour la première fois, à Aix; en décembre de l'année suivante, on l'ensevelissait, à Paris). Commotion qui l'atteint jusqu'au fond de sa substance. Elle l'a "changé. Cette ferveur chrétienne qu'il avait connue, jadis, auprès d'une mère admirable qui savait lui rendre sensible la présence de Dieu, cette ferveur qui s'était éteinte sous les plaisirs, elle ressuscite. Un lien brisé qui se renoue. Une eau perdue qui se remet à sourdre. Lamartine se marie, résolu à faire de sa vie autre chose qu'une poursuite des "grands biens". Il veut un foyer, des enfants, et dire ce qu'il a désormais dans le cœur, son espérance, sa certitude.
Ses enfants lui seront arrachés. La mort de sa petite Julia, en décembre 1832, est pour lui un déchirement sans nom.

Il entre dans la lutte politique, allant - avec une lucidité exemplaire - vers un but dont ne se doutent guère ni ses ennemis ni ses amis. Ce châtelain de province a compris ce que ne veulent pas voir les gens de sa classe : que la vraie question, temporelle, est économique et sociale, et que l'oppression est la voie sûre vers l'explosion, et que l'ordre injuste est un désordre, et que le salut est dans la République et tout ce qu'elle contient d'implicite, qu'il faudra bien expliciter. On le prend, chez les conservateurs, pour un rusé au service de leurs intérêts; et quand on s'aperçoit, sur le fait, en mai 1848, et de manière le plus flagrante, qu'il n'est pas cet imposteur dupant la "canaille", que les possédants avaient d'abord applaudit, une marée de haine le submerge, un raz-de-marée. Falloux, Montalembert, Veuillot, et tous "ces athées de la nuance catholique", si bien dénudés par Victor Hugo, qui se précipitent, en 1848, vers une Foi qui leur fait entre eux hausser les épaules, mais qu'ils estiment bonne encore à préparer, chez les analphabètes, des générations d'esclaves résignés, tous ceux-là poursuivent Lamartine d'une fureur, d'une exécration inouïes.

Démuni, solitaire et le cœur broyé, Lamartine ne sait plus si c'est vrai, tout ce à quoi il a cru. Il ne le sait plus, mais il a décidé de faire, et de vivre, comme si c'était vrai. Pari jeté dans le noir. Faire comme si Dieu, le maître obscur, était le "bon Dieu". C'est cela, le secret de Lamartine, de la mort de sa fille jusqu'à sa propre mort. Et ces mots qu'il avait voulu qu'on gravât sur sa tombe : Speravit anima mea, ces mots flétrits, usés, comme on se trompe si l'on y voit la montée calme d'une fumée d'encens. C'est une flamme entrecoupée et violente. Un cri que cet homme s'arrache dans un coup de force permanent de sa volonté.

En espérant ne pas vous saouler car c'est long ....

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Message par Invité Dim 14 Déc - 18:33

Jeu historique - Page 31 265389628   les amis

MANIA

Dans la mythologie grecque, Mania ou Manea ou Amaury est une divinité personnifiant la Folie.

Parfois considérée comme multiple, elle est souvent rapprochée des Érinyes, avec qui elle pourrait se confondre : comme elles, elle tourmente les coupables et les laisse sans répit.

Pausanias rapporte qu'elle possédait un sanctuaire en Arcadie entre Mégalopolis et Messène.

Dans les mythologies étrusque puis romaine, elle est la déesse de la Mort et donc du monde souterrain (une déité chthonienne).

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Message par Invité Dim 14 Déc - 19:15

Jeu historique - Page 31 1352686948 CLAUDIUS

N comme NEWTON Isaac

Isaac Newton (4 janvier 1643 G – 31 mars 1727 G, ou 25 décembre 1642 J – 20 mars 1727 J)N 1 est un philosophe, mathématicien, physicien, alchimiste, astronome et théologien anglais, puis britannique. Figure emblématique des sciences, il est surtout reconnu pour avoir fondé la mécanique classique, pour sa théorie de la gravitation universelle et la création, en concurrence avec Gottfried Wilhelm Leibniz, du calcul infinitésimal. En optique, il a développé une théorie de la couleur basée sur l'observation selon laquelle un prisme décompose la lumière blanche en un spectre visible. Il a aussi inventé le télescope à réflexion composé d'un miroir primaire concave appelé télescope de Newton.

En mécanique, il a établi les trois lois universelles du mouvement qui sont en fait des principes à la base de la grande théorie de Newton concernant le mouvement des corps, théorie que l'on nomme aujourd'hui « mécanique newtonienne » ou encore « mécanique classique ».

Il est aussi connu pour la généralisation du théorème du binôme et l'invention dite de la méthode de Newton permettant de trouver des approximations d'un zéro (ou racine) d'une fonction d'une variable réelle à valeurs réelles.

Newton a montré que le mouvement des objets sur Terre et des corps célestes sont gouvernés par les mêmes lois naturelles ; en se basant sur les lois de Kepler sur le mouvement des planètes, il développa la loi universelle de la gravitation.

Son ouvrage Philosophiæ Naturalis Principia Mathematica, écrit en 1686, est considéré comme une œuvre majeure dans l'histoire de la science. C'est dans celui-ci qu'il décrit la loi universelle de la gravitation, formule les trois lois universelles du mouvement et jette les bases de la mécanique classique. Il a aussi effectué des recherches dans les domaines de la théologie et l'alchimie.

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Message par THIERRY 25 Sam 3 Jan - 7:28

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]RICHELIEU

Armand Jean du Plessis de Richelieu, dit le cardinal de Richelieu, cardinal-duc de Richelieu et duc de Fronsac, est un ecclésiastique et homme d'État, né le 9 septembre 1585 à Paris et mort le 4 décembre 1642 dans cette même ville
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Message par Invité Sam 3 Jan - 19:26

Jeu historique - Page 31 265389628 TH

Donc je reprends avec le C

C comme CHARLEMAGNE

Le portrait de Charlemagne nous est connu grâce à Éginhard, un historien contemporain. Grand (il mesurait 1,92 m), fort et vigoureux, Charlemagne inspirait le respect de ses ennemis qui, sur le champ de bataille, craignaient davantage sa force physique que son intelligence tactique. D'une réelle bonté, il aimait faire des aumônes aux pauvres, pouvait éclater en sanglots à l'annonce de la mort d'un ami, et vénérait sa mère Bertrade, qu'il consultait souvent. Très attachée à sa famille, il ne séparait jamais de ses enfants, et fût marié à quatre reprises. Charlemagne a une grande curiosité d'esprit, il s'instruit beaucoup pour pallier ses lacunes, il donne ainsi une éducation complète à ses enfants. Mais il fut d'abord et avant tout un guerrier, bien que son but affirmé fût la paix. Profondément religieux, convaincu que Dieu avait confié au peuple franc et à son souverain la tâche de répandre et de défendre la foi chrétienne ainsi que les coutumes qu'elle apportait avec elle, il passa sa vie à combattre les Barbares, du nord au sud de l'Europe. Par le fer et le sang, il réussit à établir un empire chrétien sur la majeure partie de l'Europe occidentale, au point que les historiens lui attribuèrent par la suite le titre de Pater europae, père de l'Europe moderne.

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Message par lapsus Mer 26 Oct - 15:08

Jeu historique - Page 31 565987

A comme ARCHIMEDE

Archimède de Syracuse (en grec ancien : Ἀρχιμήδης / Arkhimếdês), né à Syracuse vers 287 av. J.-C. et mort en cette même ville en 212 av. J.-C., est un grand scientifique grec de Sicile (Grande-Grèce) de l'Antiquité, physicien, mathématicien et ingénieur. Bien que peu de détails de sa vie soient connus, il est considéré comme l'un des principaux scientifiques de l'Antiquité classique. Parmi ses domaines d'étude en physique, on peut citer l'hydrostatique, la mécanique statique et l'explication du principe du levier. Il est crédité de la conception de plusieurs outils innovants, comme la vis d'Archimède.
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Message par lapsus Mar 15 Nov - 13:11

C comme CALIGULA

Caligula (31 août 12 à Antium - 24 janvier 41 à Rome) est le troisième empereur romain, régnant de 37 à 41, succédant à Tibère. Après un début de règne prometteur, où il est en grande faveur auprès du peuple romain, il devient peu à peu un empereur autocratique, délaissant et assassinant ceux qui avaient soutenu son ascension, tout en vouant une grande haine pour le Sénat. Il meurt assassiné par plusieurs membres de la garde prétorienne en 41 à Rome.
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Message par Hermès Sam 26 Nov - 13:06

Jeu historique - Page 31 565987

Jean-Baptiste Lully
Surintendant de la musique royale de Louis XIV

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Surnom Le Florentin
Nom de naissance : Giovanni Battista Lulli
Naissance : 28 novembre 1632 à Florence, Grand-duché de Toscane
Décès : 22 mars 1687 Paris, France

Activité principale : Compositeur, violoniste
Activités annexes : chorégraphe, parolier, metteur en scène, homme d'affaires, chef d'orchestre
Lieux d'activité : Paris
Collaborations avec Molière, Philippe Quinault, Thomas Corneille, Fontenelle, Campistron
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