Re: UNE INCLASSABLE

par Invité Ven 25 Avr - 21:38

Thierry

Elle est bien bonne celle là.

par **RASTAMAN2401** Sam 26 Avr - 9:57

Bon samedi

par **THIERRY 25** Dim 27 Avr - 8:00

BON DIMANCHE , Perso à 9heures départ pour Sochaux
à 14 heures Sochaux / PSG ...A+

par Invité Dim 27 Avr - 8:52

Toujours agreable de passer ici ,mais je crains le pire pouir thierry c'tantot

par **RASTAMAN2401** Dim 27 Avr - 10:13

à vous tous

Oui, bonne chance Thierry

Bon match à vous

Que le meilleur gagne

A bientôt

par Invité Dim 27 Avr - 18:22

les amis

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Mais qu'est-ce que c'est? Eh bien je vais vous l'dire

regardez ci-dessous

Les Cénobites tranquilles »

29, rue de Bourgogne. 69009 Lyon-Vaise

Ouverture du local Mardi de 19 h 30 - 23 h 30

Défense des vieilles traditions lyonnaises : l’humour, le franc-parler, l’amitié, la fraternité, la gastronomie seront toujours à l’honneur et serviront de prétexte à d’agréables réunions.

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Aux premiers temps du christianisme, le cénobitisme était une forme de vie monastique en communauté, propre aux cénobites ; par opposition, les anachorètes, ou ermites, vivaient seuls une vie consacrée à la prière et la contemplation. L'étymologie explique bien cette différence essentielle, à travers deux mots grecs : koinos qui signifie « en commun » et bios qui signifie « vie ».

C'est l'anachorète Pacôme le Grand qui est considéré comme l'initiateur des premiers monastères, tant masculins que féminins, sur un modèle militaire à partir de 315 en Égypte. Jean Cassien importa cette organisation monastique dans l'Occident chrétien autour de l'an 400.

Dans les premiers exemples de vie cénobitique, les moines s'en remettaient à l'autorité d'un patriarche, d'un ancien, souvent appelé abba (père) ; par la suite, fut instituée l'élection d'un supérieur du monastère (l'abbé ou prieur), à qui les moines doivent une absolue obéissance.

En Orient, saint Sabas le Sanctifié, au VIe siècle, fit nommer deux supérieurs, appelés archimandrites, comme responsables devant les autorités civile et religieuse de Jérusalem, l'un pour les laures (le premier fut Sabas lui-même), l'autre pour les « cenobia » (le premier fut Théodose « le cénobiarque ».