Jeu historique
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Re: Jeu historique
les amis
NARCISSE
Narcisse (Gr. Νάρκισσος) était de Thespies en Béotie; il était le fils de Liriopé, la Nymphe bleue, que le dieu-Fleuve Céphise avait, un jour, violée. Le devin Tirésias annonça à Liriopé: «Narcisse vivra très vieux à condition qu'il ne se voit jamais.» Selon Nonnos, ses parents furent Endymion et Séléné. Narcisse fut l'objet de l'ardente passion de très nombreux jeunes gens et nymphes. Mais il restait insensible à leur amour.
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Echo et Narcisse
par Nicolas POUSSIN (c. 1650)
Musée du Louvre, Paris -
Parmi ses amoureuses se trouvait la Nymphe Echo qu'il repoussa brutalement. Elle passa le restant de sa vie dans des vallons, se laissant dépérir, au point que seule sa voix subsista et qui répétait le dernier mot d'une phrase.
♳Artémis (ou Némésis) l'entendit. En Thespies, elle lui fit voir son reflet dans l'eau claire d'une source, et il tomba amoureux de sa propre image reflétée dans l'eau. Devant cette passion désespérée il préféra se suicider.
♴Selon une autre légende rapportée par Pausanias, il avait une sœur qui lui ressemblait beaucoup et dont il tomba éperdument amoureux; quand la jeune fille mourut, il se rendit tous les jours près d'une source pour y retrouver son image en se mirant dans l'eau limpide.
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Echo et Narcisse (1903)
par J.W. WATERHOUSE
Walker Art Gallery, Liverpool
Echo, bien qu'elle n'eût pas pardonné à Narcisse, souffrait avec lui ; elle répéta, en écho à sa voix : « Hélas ! Hélas ! » comme il se plongeait un poignard dans la poitrine. Son sang s'écoula dans la terre et ainsi naquit un narcisse blanc à corolle rouge.
♵Dans la légende béotienne, Narcisse est un habitant de la ville de Thespies qui était aimé sans retour d'un autre jeune homme du nom d'Ameinias. Il le repoussait sans cesse et même un jour il lui envoya un poignard.
Ameinias se suicida avec ce poignard devant la porte de Narcisse en appelant la colère des dieux.
Quelques temps plus tard, alors qu'il se promenait dans les bois il tomba amoureux de son image dans l'eau claire d'une source. Comprenant l'inanité de sa passion il se suicida et à l'endroit même où son sang coula, naquit une fleur, le narcisse.
NARCISSE
Narcisse (Gr. Νάρκισσος) était de Thespies en Béotie; il était le fils de Liriopé, la Nymphe bleue, que le dieu-Fleuve Céphise avait, un jour, violée. Le devin Tirésias annonça à Liriopé: «Narcisse vivra très vieux à condition qu'il ne se voit jamais.» Selon Nonnos, ses parents furent Endymion et Séléné. Narcisse fut l'objet de l'ardente passion de très nombreux jeunes gens et nymphes. Mais il restait insensible à leur amour.
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Echo et Narcisse
par Nicolas POUSSIN (c. 1650)
Musée du Louvre, Paris -
Parmi ses amoureuses se trouvait la Nymphe Echo qu'il repoussa brutalement. Elle passa le restant de sa vie dans des vallons, se laissant dépérir, au point que seule sa voix subsista et qui répétait le dernier mot d'une phrase.
♳Artémis (ou Némésis) l'entendit. En Thespies, elle lui fit voir son reflet dans l'eau claire d'une source, et il tomba amoureux de sa propre image reflétée dans l'eau. Devant cette passion désespérée il préféra se suicider.
♴Selon une autre légende rapportée par Pausanias, il avait une sœur qui lui ressemblait beaucoup et dont il tomba éperdument amoureux; quand la jeune fille mourut, il se rendit tous les jours près d'une source pour y retrouver son image en se mirant dans l'eau limpide.
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Echo et Narcisse (1903)
par J.W. WATERHOUSE
Walker Art Gallery, Liverpool
Echo, bien qu'elle n'eût pas pardonné à Narcisse, souffrait avec lui ; elle répéta, en écho à sa voix : « Hélas ! Hélas ! » comme il se plongeait un poignard dans la poitrine. Son sang s'écoula dans la terre et ainsi naquit un narcisse blanc à corolle rouge.
♵Dans la légende béotienne, Narcisse est un habitant de la ville de Thespies qui était aimé sans retour d'un autre jeune homme du nom d'Ameinias. Il le repoussait sans cesse et même un jour il lui envoya un poignard.
Ameinias se suicida avec ce poignard devant la porte de Narcisse en appelant la colère des dieux.
Quelques temps plus tard, alors qu'il se promenait dans les bois il tomba amoureux de son image dans l'eau claire d'une source. Comprenant l'inanité de sa passion il se suicida et à l'endroit même où son sang coula, naquit une fleur, le narcisse.
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M comme MACARTHUR Douglas
Général et militaire américain
Douglas MacArthur était un général américain né le 26 janvier 1880 à Little Rock (États-Unis) et mort le 5 avril 1964. Il joua un rôle important durant la Seconde Guerre mondiale et le début de la froide. Son père, le Général Arthur macArthur a été le premier gouverneur militaire des Philippines lorsque cet archipel, de colonie espagnole, devint possession des États Unis après la guerre hispano-américaine. Douglas MacArthur est né dans une famille militaire de l'Arkansas. Il étudia au Texas Military Institute dont il sortit major et à l'académie militaire de West Point où il fut également premier de sa promotion en 1903. Au cours de l'intervention américaine à Veracruz durant la Révolution mexicaine, il mena une mission de reconnaissance pour laquelle il fut proposé pour la Medal of Honor. En 1917, il passa du grade de major à celui de colonel et devint le chef d'état-major.
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Re: Jeu historique
les amis
CASSANDRE
Cassandre (Gr. Κασσανδα; Lat. Cassandra) est la fille de Priam, roi de Troie, et d'Hécube et soeur jumelle d'Hélénos. On raconte que, très jeunes, les deux enfants s'endormirent dans le temple d'Apollon Thymbrée où ils furent retrouvés le lendemain entre deux serpents qui leur léchaient les oreilles et la bouche. Cet épisode expliquerait le don de divination qui toucha les deux enfants lorsqu'ils grandirent.
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Ajax attrape par les cheveux Cassandre cramponnée au Palladion (statue d'Athéna)
Vase attribué au peintre de Kléophrades vers 480 av. notre ère ( Musée archéologique de Naples)
De plus Cassandre était sujette à de terribles crises d'épilepsie avant ses prophéties, c'est pourquoi on la croyait folle et ses prédictions n'étaient pas prises au sérieux depuis qu'Apollon lui avait ôté le don de persuasion.
Cette partie de la légende n'est pas relatée chez Homère ( Iliade chant XIII et XXIV et Odyssée chant XI) qui ne mentionne pas ses dons de prophétie et raconte seulement qu'elle était la plus belle des filles de Priam mais elle est intégrée dans les traditions plus tardives comme par exemple dans l'Orestie d'Eschyle ou dans les Troyennes d'Euripide.
Lors de la prise de Troie, elle vit Coroebos mourir devant ses yeux et elle fut violée par Ajax, fils d'Oïlée, alors qu'elle était refugiée dans le temple d'Athéna et agrippée au Palladion. Les grecs outrés par ce comportement sacrilège voulurent le lapider mais à son tour il se réfugia sur l'autel de la déesse. Pour expier ce sacrilège, les Locriens furent condamnés à envoyer à Troie chaque année et pendant mille ans deux jeunes filles vierges destinées à être les servantes du temple d'Athéna; si les habitants s'en emparaient avant qu'elles arrivent au temple, elles étaient mises à mort. Ce tribut aurait persisté jusqu'au IIe siècle de notre ère.
Après le sac de Troie, Cassandre fut donnée comme captive à Agamemnon, et elle fut tuée avec le roi à Mycènes par Clytemnestre et son amant Egisthe comme elle l'avait d'ailleurs prédit peu de temps avant. Toutefois certains auteurs lui attribuent deux fils jumeaux Télédamos et Pélops qui périrent en même temps que leur mère.
Après sa mort elle fut l'objet d'un culte sous le nom d'Alexandra et elle eut un temple à Dardanos et un à Leuctres. Le temple et sa statue étaient célèbres car il offrait un refuge aux jeunes filles qui voulaient échapper à un mariage forcé.
CASSANDRE
Cassandre (Gr. Κασσανδα; Lat. Cassandra) est la fille de Priam, roi de Troie, et d'Hécube et soeur jumelle d'Hélénos. On raconte que, très jeunes, les deux enfants s'endormirent dans le temple d'Apollon Thymbrée où ils furent retrouvés le lendemain entre deux serpents qui leur léchaient les oreilles et la bouche. Cet épisode expliquerait le don de divination qui toucha les deux enfants lorsqu'ils grandirent.
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Ajax attrape par les cheveux Cassandre cramponnée au Palladion (statue d'Athéna)
Vase attribué au peintre de Kléophrades vers 480 av. notre ère ( Musée archéologique de Naples)
De plus Cassandre était sujette à de terribles crises d'épilepsie avant ses prophéties, c'est pourquoi on la croyait folle et ses prédictions n'étaient pas prises au sérieux depuis qu'Apollon lui avait ôté le don de persuasion.
Cette partie de la légende n'est pas relatée chez Homère ( Iliade chant XIII et XXIV et Odyssée chant XI) qui ne mentionne pas ses dons de prophétie et raconte seulement qu'elle était la plus belle des filles de Priam mais elle est intégrée dans les traditions plus tardives comme par exemple dans l'Orestie d'Eschyle ou dans les Troyennes d'Euripide.
Lors de la prise de Troie, elle vit Coroebos mourir devant ses yeux et elle fut violée par Ajax, fils d'Oïlée, alors qu'elle était refugiée dans le temple d'Athéna et agrippée au Palladion. Les grecs outrés par ce comportement sacrilège voulurent le lapider mais à son tour il se réfugia sur l'autel de la déesse. Pour expier ce sacrilège, les Locriens furent condamnés à envoyer à Troie chaque année et pendant mille ans deux jeunes filles vierges destinées à être les servantes du temple d'Athéna; si les habitants s'en emparaient avant qu'elles arrivent au temple, elles étaient mises à mort. Ce tribut aurait persisté jusqu'au IIe siècle de notre ère.
Après le sac de Troie, Cassandre fut donnée comme captive à Agamemnon, et elle fut tuée avec le roi à Mycènes par Clytemnestre et son amant Egisthe comme elle l'avait d'ailleurs prédit peu de temps avant. Toutefois certains auteurs lui attribuent deux fils jumeaux Télédamos et Pélops qui périrent en même temps que leur mère.
Après sa mort elle fut l'objet d'un culte sous le nom d'Alexandra et elle eut un temple à Dardanos et un à Leuctres. Le temple et sa statue étaient célèbres car il offrait un refuge aux jeunes filles qui voulaient échapper à un mariage forcé.
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Re: Jeu historique
Les amis.
S comme Sanche III de Navarre
Sanche III Garcés, dit le Grand[1] (v. 990 – 18 octobre 1035), est Roi de Pampelune entre 1004 et 1035, comte de Sobrarbe et Ribagorce (1018-1035), de Castille, Alava et Monzón (1029-1035). Le Royaume des Vascons atteint son apogée sous son règne[2] et devient ainsi le monarque le plus puissant[3] des royaumes chrétiens de la péninsule ibérique pendant le XIe siècle. Son pouvoir s'étend progressivement de la Garonne au Douro, de la frontière orientale de la Galice au comté de Barcelone, mais Huesca et Tudela sont au sud du Royaume[2]. On lui attribua parfois le titre de « roi ibérique » (rex Ibericus) ou celui de « roi des Espagnes » (rex Hispaniarum), mais il ne fut jamais « empereur de toute l'Espagne » comme on le trouve parfois dans l'historiographie[4]
S comme Sanche III de Navarre
Sanche III Garcés, dit le Grand[1] (v. 990 – 18 octobre 1035), est Roi de Pampelune entre 1004 et 1035, comte de Sobrarbe et Ribagorce (1018-1035), de Castille, Alava et Monzón (1029-1035). Le Royaume des Vascons atteint son apogée sous son règne[2] et devient ainsi le monarque le plus puissant[3] des royaumes chrétiens de la péninsule ibérique pendant le XIe siècle. Son pouvoir s'étend progressivement de la Garonne au Douro, de la frontière orientale de la Galice au comté de Barcelone, mais Huesca et Tudela sont au sud du Royaume[2]. On lui attribua parfois le titre de « roi ibérique » (rex Ibericus) ou celui de « roi des Espagnes » (rex Hispaniarum), mais il ne fut jamais « empereur de toute l'Espagne » comme on le trouve parfois dans l'historiographie[4]
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Re: Jeu historique
LES AMIS
N comme NERON
éron (latin : IMPERATOR NERO CLAVDIVS CAESAR AVGVSTVS GERMANICVS), né Lucius Domitius Ahenobarbus le 15 décembre 37 et mort le 9 juin 68, est le cinquième et dernier empereur romain de la dynastie julio-claudienne ; il régna de 54 à 68.
Il accède au trône le 13 octobre 54, à la mort de son grand-oncle et père adoptif Claude (Claudius), Empereur de Rome. En 66, il ajoute le titre Imperator à son nom. Il est dépossédé de son pouvoir en 68 et se suicide assisté de son scribe Épaphrodite.
Bien que Sénèque ait été son précepteur, on se souvient de lui comme un despote cruel, notamment pour avoir assassiné sa mère Agrippine en 59, et pour ses persécutions arbitraires des chrétiens1. Il est célèbre pour avoir bâti la Domus Aurea, après l'incendie de Rome de juillet 64, et pour être un prince poète, chanteur et musicien, un grand organisateur de célébrations sportives et artistiques (les Neronia)2. Il est aussi un homme d'une ambition démesurée, ayant lutté de toutes ses forces contre l'immense conjuration politique dressée contre lui3. Certains historiens débattent de la folie, réelle ou mise en scène, de Néron4.
N comme NERON
éron (latin : IMPERATOR NERO CLAVDIVS CAESAR AVGVSTVS GERMANICVS), né Lucius Domitius Ahenobarbus le 15 décembre 37 et mort le 9 juin 68, est le cinquième et dernier empereur romain de la dynastie julio-claudienne ; il régna de 54 à 68.
Il accède au trône le 13 octobre 54, à la mort de son grand-oncle et père adoptif Claude (Claudius), Empereur de Rome. En 66, il ajoute le titre Imperator à son nom. Il est dépossédé de son pouvoir en 68 et se suicide assisté de son scribe Épaphrodite.
Bien que Sénèque ait été son précepteur, on se souvient de lui comme un despote cruel, notamment pour avoir assassiné sa mère Agrippine en 59, et pour ses persécutions arbitraires des chrétiens1. Il est célèbre pour avoir bâti la Domus Aurea, après l'incendie de Rome de juillet 64, et pour être un prince poète, chanteur et musicien, un grand organisateur de célébrations sportives et artistiques (les Neronia)2. Il est aussi un homme d'une ambition démesurée, ayant lutté de toutes ses forces contre l'immense conjuration politique dressée contre lui3. Certains historiens débattent de la folie, réelle ou mise en scène, de Néron4.
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Re: Jeu historique
les amis
on va bientôt tous devenir incollables sur l'histoire et la mythologie
ROBIGUS
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Dans la mythologie romaine, Robigus (souvent associé à sa sœur Robiga) était le dieu des cultures céréalières et de la gelée. Son culte était censé épargner les champs de la nielle (maladie de la rouille).
Les Romains fêtaient ce dieu le 25 avril lors des Robigalia au cours desquelles on procédait au sacrifice d'un chien (en rapport avec la constellation du Grand Chien) ou d'une bête de couleur fauve pour épargner les champs de blé.
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ROBIGUS
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Dans la mythologie romaine, Robigus (souvent associé à sa sœur Robiga) était le dieu des cultures céréalières et de la gelée. Son culte était censé épargner les champs de la nielle (maladie de la rouille).
Les Romains fêtaient ce dieu le 25 avril lors des Robigalia au cours desquelles on procédait au sacrifice d'un chien (en rapport avec la constellation du Grand Chien) ou d'une bête de couleur fauve pour épargner les champs de blé.
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Re: Jeu historique
B comme Belin (roi légendaire de Bretagne)
Belin le Grand (Belinus en latin) est un roi légendaire de l’île de Bretagne (actuelle Grande-Bretagne), dont l’« histoire » est rapportée par Geoffroy de Monmouth dans son Historia regum Britanniae (vers 1135).
Belinus (Belin) et Brennius (Brenne), princes anglais (qui deviendront rois) sont réconciliés par leur mère, lithographie du XIXe siècle (de G. Eng...)[1]Il est le fils de Dunvallo Molmutius et le frère de Brenne. Son nom vient probablement du dieu celte Belenos. Au Pays de Galles, il est connu comme Beli Mawr.
Il a inventé les CRACKERS
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Re: Jeu historique
LES AMIS
BON VENDREDI A VOUS
L comme LOUIS XVI
Louis XVI, né le 23 août 1754 à Versailles et guillotiné place de la Révolution à Paris le 21 janvier 1793, est roi de France et de Navarre de 1774 à 1791 puis roi des Français de 1791 à 1792. Louis XVI est le fils du Dauphin Louis-Ferdinand de France et de Marie-Josèphe de Saxe. Il succède à son grand-père Louis XV en 1774. Il est le frère aîné des futurs rois Louis XVIII et Charles X.
Dauphin de France à la mort de son père, marié à Marie-Antoinette d'Autriche, il monte sur le trône à vingt ans. Il y est confronté, en particulier après l'intervention française aux côtés des colons américains, à des difficultés financières importantes accompagnées de spéculations boursières. Réformateur prudent, parfois hésitant, il tente de conduire avec ses ministres successifs des réformes à la monarchie. Il rétablit les parlements, réforme le droit des personnes (abolition de la torture en 1781 et 1788, abolition du servage dans le domaine royal en 1779, abolition du péage corporel des juifs d'Alsace en 1784, édit de tolérance des protestants en 1787) mais butte sur les réformes de la fiscalité et les finances du Royaume (réformes en 1774-1776, 1781, 1787 par deux fois). Son projet d'instaurer un impôt direct égalitaire (en remplacement de la taille inégalitaire) contrôlé par des assemblées provinciales élues, bute sur l'hostilité des privilégiés, en particulier celle de la noblesse de robe, celle du Parlement de Paris et celle de la Cour de Versailles. Louis XVI essaie alors de passer outre leur opposition en présentant ses réformes devant une assemblée des notables (1787) puis devant les états généraux (1789).
Les exigences du tiers état et la révolte du peuple provoquent la Révolution française qui transforme le rôle politique du roi et le système de gouvernement de la France en mettant fin à la monarchie absolue de droit divin. Dans un premier temps, le roi Louis XVI accepte de devenir un monarque constitutionnel, mais en butte à une opposition de plus en plus hostile et après avoir tenté de quitter Paris où il avait été conduit sous la contrainte populaire, il contribue au déclenchement d'une guerre entre les monarchies absolues et les révolutionnaires. La progression des armées étrangères et monarchistes vers Paris provoque son renversement, le 10 août 1792, par les sections républicaines : la monarchie est abolie le 21 septembre. Dès lors, emprisonné, surnommé « Louis le Dernier » ou « Louis Capet » par les révolutionnaires, Louis XVI est inculpé pour trahison sur l'accusation de ne pas avoir respecté son rôle constitutionnel, d'avoir manœuvré secrètement contre la Révolution et d'avoir tenté de fuir la France en juin 1791. Jugé coupable par la Convention nationale, il est condamné à mort et guillotiné le 21 janvier 1793 sur la place de la Révolution à Paris.
Après l'avoir considéré d'abord soit comme un traître à la patrie soit comme un martyr, les historiens français ont fini par globalement adopter une vue nuancée de la personnalité et du rôle de Louis XVI, décrit comme un honnête homme mû par de bonnes intentions, mais qui n'était pas à la hauteur de la tâche herculéenne qu'aurait représenté une profonde réforme de la monarchie.
BON VENDREDI A VOUS
L comme LOUIS XVI
Louis XVI, né le 23 août 1754 à Versailles et guillotiné place de la Révolution à Paris le 21 janvier 1793, est roi de France et de Navarre de 1774 à 1791 puis roi des Français de 1791 à 1792. Louis XVI est le fils du Dauphin Louis-Ferdinand de France et de Marie-Josèphe de Saxe. Il succède à son grand-père Louis XV en 1774. Il est le frère aîné des futurs rois Louis XVIII et Charles X.
Dauphin de France à la mort de son père, marié à Marie-Antoinette d'Autriche, il monte sur le trône à vingt ans. Il y est confronté, en particulier après l'intervention française aux côtés des colons américains, à des difficultés financières importantes accompagnées de spéculations boursières. Réformateur prudent, parfois hésitant, il tente de conduire avec ses ministres successifs des réformes à la monarchie. Il rétablit les parlements, réforme le droit des personnes (abolition de la torture en 1781 et 1788, abolition du servage dans le domaine royal en 1779, abolition du péage corporel des juifs d'Alsace en 1784, édit de tolérance des protestants en 1787) mais butte sur les réformes de la fiscalité et les finances du Royaume (réformes en 1774-1776, 1781, 1787 par deux fois). Son projet d'instaurer un impôt direct égalitaire (en remplacement de la taille inégalitaire) contrôlé par des assemblées provinciales élues, bute sur l'hostilité des privilégiés, en particulier celle de la noblesse de robe, celle du Parlement de Paris et celle de la Cour de Versailles. Louis XVI essaie alors de passer outre leur opposition en présentant ses réformes devant une assemblée des notables (1787) puis devant les états généraux (1789).
Les exigences du tiers état et la révolte du peuple provoquent la Révolution française qui transforme le rôle politique du roi et le système de gouvernement de la France en mettant fin à la monarchie absolue de droit divin. Dans un premier temps, le roi Louis XVI accepte de devenir un monarque constitutionnel, mais en butte à une opposition de plus en plus hostile et après avoir tenté de quitter Paris où il avait été conduit sous la contrainte populaire, il contribue au déclenchement d'une guerre entre les monarchies absolues et les révolutionnaires. La progression des armées étrangères et monarchistes vers Paris provoque son renversement, le 10 août 1792, par les sections républicaines : la monarchie est abolie le 21 septembre. Dès lors, emprisonné, surnommé « Louis le Dernier » ou « Louis Capet » par les révolutionnaires, Louis XVI est inculpé pour trahison sur l'accusation de ne pas avoir respecté son rôle constitutionnel, d'avoir manœuvré secrètement contre la Révolution et d'avoir tenté de fuir la France en juin 1791. Jugé coupable par la Convention nationale, il est condamné à mort et guillotiné le 21 janvier 1793 sur la place de la Révolution à Paris.
Après l'avoir considéré d'abord soit comme un traître à la patrie soit comme un martyr, les historiens français ont fini par globalement adopter une vue nuancée de la personnalité et du rôle de Louis XVI, décrit comme un honnête homme mû par de bonnes intentions, mais qui n'était pas à la hauteur de la tâche herculéenne qu'aurait représenté une profonde réforme de la monarchie.
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Re: Jeu historique
ROQ
C'est un excellent résumé de la vie de ce roi, qui, à mon humble avis, ne méritait pas le sort qui lui a été réservé.
Si le régime de la terreur (comme il existait en ce temps là ) était encore à l'ordre du jour, beaucoup de cadors de notre oligarchie actuelle pourraient se faire du souci.
C'est un excellent résumé de la vie de ce roi, qui, à mon humble avis, ne méritait pas le sort qui lui a été réservé.
Si le régime de la terreur (comme il existait en ce temps là ) était encore à l'ordre du jour, beaucoup de cadors de notre oligarchie actuelle pourraient se faire du souci.
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Re: Jeu historique
CLAUDIUS
POUR TON ELOGE
C'est tout à fait vrai et c'est d'ailleurs un exemple en la matière
Beaucoup de nos hauts politiciens ont oublié les vraies valeurs de la France
POUR TON ELOGE
C'est tout à fait vrai et c'est d'ailleurs un exemple en la matière
Beaucoup de nos hauts politiciens ont oublié les vraies valeurs de la France
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Re: Jeu historique
les amis
UBU
François Ubu, dit le Père Ubu, est un personnage de fiction créé par l’écrivain français Alfred Jarry. Capitaine de dragons, officier de confiance du roi Venceslas, décoré de l’ordre de l’Aigle rouge de Pologne, ancien roi d’Aragon, comte de Sandomir ; puis roi de Pologne, docteur en pataphysique, et grand maître de l’ordre de la Gidouille. Il apparaît pour la première fois dans la pièce de théâtre Ubu roi.
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Véritable portrait de Monsieur Ubu, par Alfred Jarry (1896).
UBU
François Ubu, dit le Père Ubu, est un personnage de fiction créé par l’écrivain français Alfred Jarry. Capitaine de dragons, officier de confiance du roi Venceslas, décoré de l’ordre de l’Aigle rouge de Pologne, ancien roi d’Aragon, comte de Sandomir ; puis roi de Pologne, docteur en pataphysique, et grand maître de l’ordre de la Gidouille. Il apparaît pour la première fois dans la pièce de théâtre Ubu roi.
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Véritable portrait de Monsieur Ubu, par Alfred Jarry (1896).
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Re: Jeu historique
LES AMIS
U comme ULYSSE
élèbre héros grec, roi légendaire d'Ithaque, Ulysse (Gr. Ὀδυσσεύς; Lat. Odysseus) était le fils de Laërte et d'Anticlée. Toutefois des traditions postérieures prétendent que Sisyphe, en visite à Ithaque, serait tombé amoureux d'Anticlée, alors déjà fiancée à Laërte, et aurait engendré Ulysse.
On dit aussi que son grand-père maternel, le célèbre voleur Autolycos, fils d'Hermès, qui avait choisi le nom Odysseus qui signifierait "celui qui est agacé" et lui avait prédit qu'il serait aussi roué que lui et qu'il obtiendrait de grandes richesses quand il serait capable de venir les chercher chez lui, sur le Parnasse.
Avec ce singulier grand-père, il participa sur le mont Parnasse à une chasse au sanglier qui le blessa d'un coup de défense. La cicatrice qu'Ulysse gardera à la jambe lui permettra d'être reconnu par Euryclée, sa nourrice quand il reviendra à Ithaque.
Ulysse fit de nombreux voyages qui l'amenèrent tour à tour à Lacédémone, à Ephyra, à Taphos et à Messène où il fit connaissance d'Iphitos, fils Eurytos, qui cherchait les juments volées. Ils devinrent amis et Iphitos lui donna l'arc de son père, champion de tir, juste avant d'être tué par Héraclès soupçonné injustement de vol à la place d'Autolycos.
Ulysse chercha le moyen d'obtenir du poison pour ses flèches mais Ilios, petit-fils de Médée le lui refusa. Il s'adressa alors à Anchialos, prince de Taphos, qui lui en fournit. Toutefois il n'emporta pas l'arme à la guerre de Troie et il plaça cet arc, qui allait jouer un rôle déterminant par la suite, dans la salle de réception de son palais d'Ithaque .
U comme ULYSSE
élèbre héros grec, roi légendaire d'Ithaque, Ulysse (Gr. Ὀδυσσεύς; Lat. Odysseus) était le fils de Laërte et d'Anticlée. Toutefois des traditions postérieures prétendent que Sisyphe, en visite à Ithaque, serait tombé amoureux d'Anticlée, alors déjà fiancée à Laërte, et aurait engendré Ulysse.
On dit aussi que son grand-père maternel, le célèbre voleur Autolycos, fils d'Hermès, qui avait choisi le nom Odysseus qui signifierait "celui qui est agacé" et lui avait prédit qu'il serait aussi roué que lui et qu'il obtiendrait de grandes richesses quand il serait capable de venir les chercher chez lui, sur le Parnasse.
Avec ce singulier grand-père, il participa sur le mont Parnasse à une chasse au sanglier qui le blessa d'un coup de défense. La cicatrice qu'Ulysse gardera à la jambe lui permettra d'être reconnu par Euryclée, sa nourrice quand il reviendra à Ithaque.
Ulysse fit de nombreux voyages qui l'amenèrent tour à tour à Lacédémone, à Ephyra, à Taphos et à Messène où il fit connaissance d'Iphitos, fils Eurytos, qui cherchait les juments volées. Ils devinrent amis et Iphitos lui donna l'arc de son père, champion de tir, juste avant d'être tué par Héraclès soupçonné injustement de vol à la place d'Autolycos.
Ulysse chercha le moyen d'obtenir du poison pour ses flèches mais Ilios, petit-fils de Médée le lui refusa. Il s'adressa alors à Anchialos, prince de Taphos, qui lui en fournit. Toutefois il n'emporta pas l'arme à la guerre de Troie et il plaça cet arc, qui allait jouer un rôle déterminant par la suite, dans la salle de réception de son palais d'Ithaque .
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Re: Jeu historique
les amis
YMIR
Dans la mythologie nordique, Ymir aussi nommé Aurgelmir, Brímir ainsi que Bláinn, est un géant et la première créature vivante. Au sens métaphorique, Ymir peut être vu comme étant l'univers vierge
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Ymir est tué par les fils de Bur.
Ymir, le fondateur de la race des jötnar, ainsi qu'une figure importante dans la cosmogonie nordique, se forma de la glace de Niflheim, où celui-ci touchait à la chaleur de Muspellheim et fondait. Des géants sortirent du corps d'Ymir pendant qu'il dormait, de ses aisselles surgirent un homme et une femme, tandis que de ses jambes naissait un fils.
Ymir vivait du lait de la vache Audhumla qui avait quatre pis. Celle-ci léchait le givre et le sel dont Ymir était couvert, formant ainsi Búri, le père de Bur, père lui-même d'Odin de Vili et de Vé.
Dans le mythe de la création, Odin, exaspéré par la brutalité d'Ymir, le tua et le jeta dans le Ginnungagap (« le gouffre béant »). Le déluge causé par son sang fut si grand qu'il tua tous les géants, à part le petit-fils de Ymir (Bergelmir, fils de Þrúðgelmir) et sa femme. Odin et ses frères utilisèrent le corps d'Ymir pour créer la Terre ; sa chair remplit Ginnungagap, ses cheveux devinrent des arbres, son sourcil devint Midgard, et ses os se changèrent en montagnes. De même, ses dents et les fragments de ses os devinrent les rochers, et son sang donna naissance aux rivières, aux lacs, aux étangs et à la mer. Son crâne forma le ciel, qui reposait sur quatre nains, son cerveau devenant les nuages, et les asticots de la chair engendrèrent la race des nains.
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Audhumla nourrissant Ymir et créant Búri.
YMIR
Dans la mythologie nordique, Ymir aussi nommé Aurgelmir, Brímir ainsi que Bláinn, est un géant et la première créature vivante. Au sens métaphorique, Ymir peut être vu comme étant l'univers vierge
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Ymir est tué par les fils de Bur.
Ymir, le fondateur de la race des jötnar, ainsi qu'une figure importante dans la cosmogonie nordique, se forma de la glace de Niflheim, où celui-ci touchait à la chaleur de Muspellheim et fondait. Des géants sortirent du corps d'Ymir pendant qu'il dormait, de ses aisselles surgirent un homme et une femme, tandis que de ses jambes naissait un fils.
Ymir vivait du lait de la vache Audhumla qui avait quatre pis. Celle-ci léchait le givre et le sel dont Ymir était couvert, formant ainsi Búri, le père de Bur, père lui-même d'Odin de Vili et de Vé.
Dans le mythe de la création, Odin, exaspéré par la brutalité d'Ymir, le tua et le jeta dans le Ginnungagap (« le gouffre béant »). Le déluge causé par son sang fut si grand qu'il tua tous les géants, à part le petit-fils de Ymir (Bergelmir, fils de Þrúðgelmir) et sa femme. Odin et ses frères utilisèrent le corps d'Ymir pour créer la Terre ; sa chair remplit Ginnungagap, ses cheveux devinrent des arbres, son sourcil devint Midgard, et ses os se changèrent en montagnes. De même, ses dents et les fragments de ses os devinrent les rochers, et son sang donna naissance aux rivières, aux lacs, aux étangs et à la mer. Son crâne forma le ciel, qui reposait sur quatre nains, son cerveau devenant les nuages, et les asticots de la chair engendrèrent la race des nains.
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Audhumla nourrissant Ymir et créant Búri.
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Re: Jeu historique
les potos
I comme IRIS
Dans la mythologie grecque, Iris (en grec ancien Ἶρις / Îris), fille de Thaumas et de l'Océanide Électre 1, donc la soeur des Harpies, était la messagère des dieux, et principalement d'Héra, comme Hermès était le messager de Zeus. Dans l'Iliade d'Homère, elle est la messagère de tous les dieux éternels2. Thaumas étant fils de Gaïa (la Terre), Iris, à cause de son origine, doit être considérée comme aussi antique que les plus anciens dieux. Toujours assise auprès du Trône d'Héra, elle est prête à exécuter ses ordres. Elle avait également le soin de l'appartement et du lit de sa maîtresse et elle l'aidait à sa toilette. Lorsque Héra revenait des Enfers dans l'Olympe, c'est Iris qui la purifiait avec des parfums. Héra avait pour elle une affection sans bornes, parce qu'elle ne lui apportait jamais que de bonnes nouvelles.
On la représente sous la figure d'une gracieuse jeune fille, avec des ailes brillantes de toutes les couleurs réunies. Les poètes prétendaient que l'arc-en-ciel était la trace du pied d'Iris descendant rapidement de l'Olympe vers la terre pour porter un message ; c'est pourquoi on la représente le plus souvent avec un arc-en-ciel. D'autres font de l'arc-en-ciel son écharpe.
I comme IRIS
Dans la mythologie grecque, Iris (en grec ancien Ἶρις / Îris), fille de Thaumas et de l'Océanide Électre 1, donc la soeur des Harpies, était la messagère des dieux, et principalement d'Héra, comme Hermès était le messager de Zeus. Dans l'Iliade d'Homère, elle est la messagère de tous les dieux éternels2. Thaumas étant fils de Gaïa (la Terre), Iris, à cause de son origine, doit être considérée comme aussi antique que les plus anciens dieux. Toujours assise auprès du Trône d'Héra, elle est prête à exécuter ses ordres. Elle avait également le soin de l'appartement et du lit de sa maîtresse et elle l'aidait à sa toilette. Lorsque Héra revenait des Enfers dans l'Olympe, c'est Iris qui la purifiait avec des parfums. Héra avait pour elle une affection sans bornes, parce qu'elle ne lui apportait jamais que de bonnes nouvelles.
On la représente sous la figure d'une gracieuse jeune fille, avec des ailes brillantes de toutes les couleurs réunies. Les poètes prétendaient que l'arc-en-ciel était la trace du pied d'Iris descendant rapidement de l'Olympe vers la terre pour porter un message ; c'est pourquoi on la représente le plus souvent avec un arc-en-ciel. D'autres font de l'arc-en-ciel son écharpe.
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Re: Jeu historique
les amis
IOLE
Dans la mythologie grecque, Iole, fille d'Eurytos, roi d'Œchalie, et sœur de Déionée et d'Iphitos, pressée par Héraclès qui ravageait les Etats de son père, se précipita du haut des remparts ; mais le vent, enflant sa robe, la soutint dans l'air et elle redescendit sans se blesser. Selon d'autres versions, Eurytos refusa sa fille au héros, ce qui fut cause de sa perte et de celle de son fils Iphitos.
C'est l'amour d'Héraclès pour Iole qui causa la jalousie de Déjanire et l'envoi de la fatale tunique de Nessos.
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Iole tenant une flèche (réminiscence de la flèche empoisonnée d'Héraclès à Nessos), miniature extraite d'un manuscrit médiéval du De mulieribus claris de Boccace, Bibliothèque nationale de France.
IOLE
Dans la mythologie grecque, Iole, fille d'Eurytos, roi d'Œchalie, et sœur de Déionée et d'Iphitos, pressée par Héraclès qui ravageait les Etats de son père, se précipita du haut des remparts ; mais le vent, enflant sa robe, la soutint dans l'air et elle redescendit sans se blesser. Selon d'autres versions, Eurytos refusa sa fille au héros, ce qui fut cause de sa perte et de celle de son fils Iphitos.
C'est l'amour d'Héraclès pour Iole qui causa la jalousie de Déjanire et l'envoi de la fatale tunique de Nessos.
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Iole tenant une flèche (réminiscence de la flèche empoisonnée d'Héraclès à Nessos), miniature extraite d'un manuscrit médiéval du De mulieribus claris de Boccace, Bibliothèque nationale de France.
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Re: Jeu historique
LES POTOS
L comme LA FAYETTE
Marie Joseph Gilbert Motier, dit Le marquis de la Fayette se distingue comme une grande figure militaire française dont le destin est incontestablement lié à celui de l’Amérique.
Le choix d’une vie
Il descend d’une famille noble de haut rang, introduite auprès de la cours de Versailles. A 17 ans, après son mariage avec la fille du Duc de Nouailles, une des familles les plus influentes du royaume, il refuse une charge à la cour qui lui aurait assuré une vie confortable. Il préfère orienter son destin vers une carrière militaire.
L’envol vers les Amériques
Après avoir servi dans l’armée française de 1771 à 1776, il obtient le grade de capitaine et il part en Amérique. Il poursuit l’objectif d’apporter son expérience à ce pays et reçoit le poste de général de division dans l’armée continentale. Sur place, il aide les insurgés et se lie d’amitié avec Benjamin Franklin. A son retour en France, il insiste auprès du gouvernement français pour participer à la guerre d’Indépendance et se bat auprès des colons américains dès 1780. Aujourd’hui encore, il est perçu comme un héros au Etats-Unis. Un square porte son nom et il est déclaré citoyen d’honneur en 2002, à titre posthume.
Le retour en France
En 1787, La Fayette revient en France et s’engage dans une carrière politique. Il intègre l’assemblée des notables puis est élu député de la noblesse aux Etats Généraux. Après la prise de la Bastille, il devient commandant de la Garde nationale. Il entend devenir un artisan de la Révolution Française. Il souhaite réconcilier le peuple avec le pouvoir royal. Il fait également partie des hommes qui ont contribué à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789, déclaration calquée sur le modèle de la Déclaration d’Indépendance américaine.
Une carrière politique en demi teinte
Il est définitivement discrédité auprès du peuple lorsque le 17 juillet 1791, il donne l’ordre de tirer sur les manifestants du Champ de Mars. Cet événement entraîne une crise politique. Déclaré traître à la patrie, il s’exile en Autriche. Après cet épisode, sa carrière est ralentie mais sa popularité ne faiblit pas, ce qui lui permet de revenir sur le devant de la scène où il milite pour l’abdication de Napoléon 1er. Son dernier combat militaire s’exprime dans la révolution de 1830 où il est commandant de la Garde nationale.
L comme LA FAYETTE
Marie Joseph Gilbert Motier, dit Le marquis de la Fayette se distingue comme une grande figure militaire française dont le destin est incontestablement lié à celui de l’Amérique.
Le choix d’une vie
Il descend d’une famille noble de haut rang, introduite auprès de la cours de Versailles. A 17 ans, après son mariage avec la fille du Duc de Nouailles, une des familles les plus influentes du royaume, il refuse une charge à la cour qui lui aurait assuré une vie confortable. Il préfère orienter son destin vers une carrière militaire.
L’envol vers les Amériques
Après avoir servi dans l’armée française de 1771 à 1776, il obtient le grade de capitaine et il part en Amérique. Il poursuit l’objectif d’apporter son expérience à ce pays et reçoit le poste de général de division dans l’armée continentale. Sur place, il aide les insurgés et se lie d’amitié avec Benjamin Franklin. A son retour en France, il insiste auprès du gouvernement français pour participer à la guerre d’Indépendance et se bat auprès des colons américains dès 1780. Aujourd’hui encore, il est perçu comme un héros au Etats-Unis. Un square porte son nom et il est déclaré citoyen d’honneur en 2002, à titre posthume.
Le retour en France
En 1787, La Fayette revient en France et s’engage dans une carrière politique. Il intègre l’assemblée des notables puis est élu député de la noblesse aux Etats Généraux. Après la prise de la Bastille, il devient commandant de la Garde nationale. Il entend devenir un artisan de la Révolution Française. Il souhaite réconcilier le peuple avec le pouvoir royal. Il fait également partie des hommes qui ont contribué à la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789, déclaration calquée sur le modèle de la Déclaration d’Indépendance américaine.
Une carrière politique en demi teinte
Il est définitivement discrédité auprès du peuple lorsque le 17 juillet 1791, il donne l’ordre de tirer sur les manifestants du Champ de Mars. Cet événement entraîne une crise politique. Déclaré traître à la patrie, il s’exile en Autriche. Après cet épisode, sa carrière est ralentie mais sa popularité ne faiblit pas, ce qui lui permet de revenir sur le devant de la scène où il milite pour l’abdication de Napoléon 1er. Son dernier combat militaire s’exprime dans la révolution de 1830 où il est commandant de la Garde nationale.
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Re: Jeu historique
F comme Ferdinand Ier de León
Ferdinand Ier, dit « le Grand » (el Magno ou el Grande), est né vers 1016 et mort le 27 décembre 1065[1]. Il est comte de Castille de 1028 à 1037, puis roi de León et de Castille jusqu'à sa mort. Il se donne également le titre d'empereur d'Espagne.
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Re: Jeu historique
SUPER ALAIN ET LES POTOS
R comme FERNAND REYNAUD
Fernand Raynaud est un artiste comique de scène, français né le 19 mai 1926 à Clermont-Ferrand et mort le 28 septembre 1973 dans un accident de la route au Cheix-sur-Morge, près de Riom.
Fernand Raynaud est parmi les artistes comiques les plus connus en France, dans les années 1950 et 1960. Initialement homme de cabaret et de music-hall avec des sketches et des chansons, il devient une vedette nationale grâce à la télévision. Son art comique consiste à présenter des histoires drôles à base de situations quotidiennes, qui mettent en scène le Français moyen. Il y exploite avec efficacité et talent des tours éprouvés de la farce et du cirque : quiproquos, absurdités, gaffes, art corporel du mime et de la grimace, multiplicité d'accents, fluidité du jeu alternant les différents protagonistes au sein d'un même sketch, mise en avant d'un personnage de benêt au costume trop grand et qui n'est pas sans évoquer une forme civile de l'Auguste.
R comme FERNAND REYNAUD
Fernand Raynaud est un artiste comique de scène, français né le 19 mai 1926 à Clermont-Ferrand et mort le 28 septembre 1973 dans un accident de la route au Cheix-sur-Morge, près de Riom.
Fernand Raynaud est parmi les artistes comiques les plus connus en France, dans les années 1950 et 1960. Initialement homme de cabaret et de music-hall avec des sketches et des chansons, il devient une vedette nationale grâce à la télévision. Son art comique consiste à présenter des histoires drôles à base de situations quotidiennes, qui mettent en scène le Français moyen. Il y exploite avec efficacité et talent des tours éprouvés de la farce et du cirque : quiproquos, absurdités, gaffes, art corporel du mime et de la grimace, multiplicité d'accents, fluidité du jeu alternant les différents protagonistes au sein d'un même sketch, mise en avant d'un personnage de benêt au costume trop grand et qui n'est pas sans évoquer une forme civile de l'Auguste.
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Re: Jeu historique
LES AMIS
YAMAMOTO
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Isoroku Yamamoto
L’amiral Isoroku Yamamoto (4 avril 1884 – 18 avril 1943) est une personnalité marquante de la Seconde Guerre mondiale en commandant les forces navales japonaises pendant la première partie de la campagne du Pacifique. Il a organisé et dirigé l'attaque surprise contre Pearl Harbor.
Il est généralement considéré comme un stratège brillant à la vision acérée (tacticien de Pearl Harbor, il avait très vite compris le potentiel des porte-avions et des sous-marins ; il avait aussi prédit que la supériorité japonaise ne durerait que six mois à un an dans le Pacifique ; la bataille de Midway, six mois après Pearl Harbor en fut le tournant). Sa fidélité à l'Empire fut indéfectible malgré sa claire perception de l'issue tragique qui serait celle des ambitions japonaises dans le Pacifique.
Il mourut le 18 avril 1943, lorsque le bombardier qui le transportait et son escorte furent attaqués par une escadrille américaine, avertie du voyage après avoir percé le code de transmission japonais.
YAMAMOTO
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L’amiral Isoroku Yamamoto (4 avril 1884 – 18 avril 1943) est une personnalité marquante de la Seconde Guerre mondiale en commandant les forces navales japonaises pendant la première partie de la campagne du Pacifique. Il a organisé et dirigé l'attaque surprise contre Pearl Harbor.
Il est généralement considéré comme un stratège brillant à la vision acérée (tacticien de Pearl Harbor, il avait très vite compris le potentiel des porte-avions et des sous-marins ; il avait aussi prédit que la supériorité japonaise ne durerait que six mois à un an dans le Pacifique ; la bataille de Midway, six mois après Pearl Harbor en fut le tournant). Sa fidélité à l'Empire fut indéfectible malgré sa claire perception de l'issue tragique qui serait celle des ambitions japonaises dans le Pacifique.
Il mourut le 18 avril 1943, lorsque le bombardier qui le transportait et son escorte furent attaqués par une escadrille américaine, avertie du voyage après avoir percé le code de transmission japonais.
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Re: Jeu historique
les potos
M COMME MACISTE
riginaire de l’Antiquité, Maciste témoigne à l’âge adulte d’une inhabituelle propension à la violence et à la brutalité dépassant les conventions sociales inhérentes à son époque. Doté d’une agressivité quasi-maladive, Maciste va néanmoins apprendre à canaliser sa bestialité et à l’orienter vers les forces du mal.
C’est un peu comme dans la série Dexter. Dexter est un tueur en série qui n’arrive pas à s’empêcher de tuer, mais comme il ne s’en prend qu’à d’autres tueurs en série, la morale est sauve. Et bien Maciste ne tape que sur des monstres, du type gorgones, hydres à trois têtes, vampires, chiens de l’enfer, ou bien juste à des méchants du genre troufions à Jules César, soldats squelettes voire dans le pire des cas à d’autres héros avec lesquels il se sent en compétition (et c’est là qu’on voit bien le complexe d’infériorité de Maciste) : Zorro, Hercule, Batman, Margaret Thatcher.
Maciste a un super pouvoir : il possède une force herculéenne. C’est justement pour cette raison qu’il éprouve une jalousie déplacée à l’égard d’Hercule, qui selon toute logique devrait posséder une force macistéenne ; or, on dit également qu’Hercule est herculéen, ce qui exaspère Maciste.
Dans le fond, Maciste est quand même un type bien, qui défend la veuve et l’orphelin. Quand il tape quelqu’un, c’est toujours pour de bonnes raisons, et quand il s’en prend à un gentil, c’est parce qu’il s’est fait abuser par un méchant ou par un malentendu dont tout le monde rira dans vingt ans.
M COMME MACISTE
riginaire de l’Antiquité, Maciste témoigne à l’âge adulte d’une inhabituelle propension à la violence et à la brutalité dépassant les conventions sociales inhérentes à son époque. Doté d’une agressivité quasi-maladive, Maciste va néanmoins apprendre à canaliser sa bestialité et à l’orienter vers les forces du mal.
C’est un peu comme dans la série Dexter. Dexter est un tueur en série qui n’arrive pas à s’empêcher de tuer, mais comme il ne s’en prend qu’à d’autres tueurs en série, la morale est sauve. Et bien Maciste ne tape que sur des monstres, du type gorgones, hydres à trois têtes, vampires, chiens de l’enfer, ou bien juste à des méchants du genre troufions à Jules César, soldats squelettes voire dans le pire des cas à d’autres héros avec lesquels il se sent en compétition (et c’est là qu’on voit bien le complexe d’infériorité de Maciste) : Zorro, Hercule, Batman, Margaret Thatcher.
Maciste a un super pouvoir : il possède une force herculéenne. C’est justement pour cette raison qu’il éprouve une jalousie déplacée à l’égard d’Hercule, qui selon toute logique devrait posséder une force macistéenne ; or, on dit également qu’Hercule est herculéen, ce qui exaspère Maciste.
Dans le fond, Maciste est quand même un type bien, qui défend la veuve et l’orphelin. Quand il tape quelqu’un, c’est toujours pour de bonnes raisons, et quand il s’en prend à un gentil, c’est parce qu’il s’est fait abuser par un méchant ou par un malentendu dont tout le monde rira dans vingt ans.
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Re: Jeu historique
C comme Claes Gerritszoon Compaen
Claes Gerritszoon Compaen (né en 1587 à Oostzaan en Hollande-Septentrionale – mort le 25 février 1660 à Oostzaan), aussi connu sous le nom de Claas Compaan ou Klaas Kompaan, est un corsaire, pirate et marchand hollandais du XVIIe siècle. Il capturera plusieurs centaines de navires en Europe, en Méditerranée et en Afrique de l’Ouest dans les années 1620.
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Re: Jeu historique
les amis
MANTO
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Manto pratiquant la magie. Miniature d'un manuscrit médiéval du De mulieribus claris, Bibliothèque nationale de France
Dans la mythologie grecque, Manto est la fille du célèbre devin de Thèbes Tirésias qu'Ulysse alla consulter dans l'au-delà de la vie. Lorsque Thèbes capitula devant les Épigones, elle fut emmenée à Delphes auprès d'Apollon. Certaine qu'elle avait hérité des dons exceptionnels de son père, le dieu lui confia un de ses propres oracles, à Claros, en Asie Mineure. Elle conçut Mopsos de sa liaison avec le dieu.
Selon Virgile, elle aurait donné son nom à Mantova (Mantoue) en Italie.
MANTO
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Manto pratiquant la magie. Miniature d'un manuscrit médiéval du De mulieribus claris, Bibliothèque nationale de France
Dans la mythologie grecque, Manto est la fille du célèbre devin de Thèbes Tirésias qu'Ulysse alla consulter dans l'au-delà de la vie. Lorsque Thèbes capitula devant les Épigones, elle fut emmenée à Delphes auprès d'Apollon. Certaine qu'elle avait hérité des dons exceptionnels de son père, le dieu lui confia un de ses propres oracles, à Claros, en Asie Mineure. Elle conçut Mopsos de sa liaison avec le dieu.
Selon Virgile, elle aurait donné son nom à Mantova (Mantoue) en Italie.
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Re: Jeu historique
CLAUDIUS ET LES AMIS
N comme NIEPCE
Sa biographie
L'ingénieur Joseph Nicéphore Nièpce naît à Chalon-sur-Saône le 7 mars 1765 d'un père avocat et conseiller du Roi, et d'une mère fille d'un célèbre avocat bourguignon. Très aisée, sa famille possède de nombreuses propriétés dans toute la Bourgogne, qui apportent de nombreux revenus. Entre 1780 et 1788, Joseph Nièpce suit des études aux collèges des Oratoriens de Chalon-sur-Saône, Angers et Troyes, car sa famille le destine à une carrière ecclésiastique. La vocation le quitte vite, et il s'engage dans l'armée révolutionnaire en 1792. Dans la foulée, il se marie, part vivre à Nice, et voit naître son premier fils. Au début du XIXe siècle, il revient en Bourgogne auprès de sa mère et de ses frères, et s'occupe de gérer les différents domaines, tout en travaillant sur de nombreuses inventions.
Joseph Nièpce se lance notamment dans la création d'un moteur marin, le pyréolophore, qui ne sera jamais commercialisé. Il s'associe avec son frère Claude, qui se charge de la partie commerciale. Il part en Angleterre en 1917, pour vendre les moteurs inventés par son frère. Ce dernier s'endette peu à peu, et doit commencer à vendre certaines propriétés de la famille.
Joseph Nièpce invente la photographie
Après s'être intéressé à l'héliographie, Nièpce s'associe sérieusement en 1829 avec Daguerre, avec qui il développera son invention la plus célèbre, la photographie. Joseph Nièpce meurt le 5 juillet 1833 à Saint-Loup-de-Varennes, où il est enterré.
Les travaux de Joseph Nièpce sont toujours aujourd'hui très utilisés dans le domaine de la photographie, dont il fut le pionnier. Son nom a été donné à un musée de la photographie et à un centre de développement de la filière image de Chalon-sur-Saône.
N comme NIEPCE
Sa biographie
L'ingénieur Joseph Nicéphore Nièpce naît à Chalon-sur-Saône le 7 mars 1765 d'un père avocat et conseiller du Roi, et d'une mère fille d'un célèbre avocat bourguignon. Très aisée, sa famille possède de nombreuses propriétés dans toute la Bourgogne, qui apportent de nombreux revenus. Entre 1780 et 1788, Joseph Nièpce suit des études aux collèges des Oratoriens de Chalon-sur-Saône, Angers et Troyes, car sa famille le destine à une carrière ecclésiastique. La vocation le quitte vite, et il s'engage dans l'armée révolutionnaire en 1792. Dans la foulée, il se marie, part vivre à Nice, et voit naître son premier fils. Au début du XIXe siècle, il revient en Bourgogne auprès de sa mère et de ses frères, et s'occupe de gérer les différents domaines, tout en travaillant sur de nombreuses inventions.
Joseph Nièpce se lance notamment dans la création d'un moteur marin, le pyréolophore, qui ne sera jamais commercialisé. Il s'associe avec son frère Claude, qui se charge de la partie commerciale. Il part en Angleterre en 1917, pour vendre les moteurs inventés par son frère. Ce dernier s'endette peu à peu, et doit commencer à vendre certaines propriétés de la famille.
Joseph Nièpce invente la photographie
Après s'être intéressé à l'héliographie, Nièpce s'associe sérieusement en 1829 avec Daguerre, avec qui il développera son invention la plus célèbre, la photographie. Joseph Nièpce meurt le 5 juillet 1833 à Saint-Loup-de-Varennes, où il est enterré.
Les travaux de Joseph Nièpce sont toujours aujourd'hui très utilisés dans le domaine de la photographie, dont il fut le pionnier. Son nom a été donné à un musée de la photographie et à un centre de développement de la filière image de Chalon-sur-Saône.
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