Jeu historique
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Re: Jeu historique
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CYCNOS
Dans la mythologie grecque, Cycnos (en grec ancien Κύκνος / Kýknos) est le fils d'Arès. Il n'est connu que par sa confrontation avec Héraclès, qui est représentée sur de nombreux vases grecs
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Combat d'Héraclès et Cycnos, amphore attique à figures noires, v. 550-530 av. J.-C., British Museum (B 197)
Le personnage de Cycnos apparaît pour la première fois dans le Bouclier d'Héraclès, un poème pseudo-hésiodique datant de 590-560 av. J.-C.2, entièrement consacré au combat entre Héraclès et lui. L'auteur du Bouclier n'est pas l'inventeur de ce motif, que l'on retrouve également dans des monuments de l'époque archaïque : un groupe statuaire sur l'Acropole d'Athènes, une métope du Trésor des Athéniens à Delphes et un relief du trône d'Apollon à Amyclées5.
Dans le poème, Cycnos est un guerrier thessalien qui dépouille les pèlerins se rendant à Delphes, ce qu'Apollon ne voit évidemment pas d'un très bon œil. Le dieu pousse ainsi Héraclès et Iolaos, montés sur leur char, à passer par son autel à Pagases pour se rendre chez Céyx, roi de Trachis. Ils sont arrêtés par Cycnos, également monté sur son char, qui entend bien dérober l'armure du héros. Le combat prend fin rapidement : Héraclès abat de sa javeline Cycnos, pourtant soutenu par son père Arès, présent à ses côtés. Malgré les avertissements d'Athéna, également présente sur les lieux1, Arès attaque à son tour le héros dans l'idée de venger son fils. Sa javeline est déviée par Athéna ; blessé à la cuisse par Héraclès, il doit s'enfuir, alors qu'Héraclès dépouille Cycnos de ses armes. Céyx, beau-père de Cycnos, lui érige un tombeau qui sera détruit par le dieu-fleuve Anauros sur ordre d'Apollon.
À l'époque romaine, le pseudo-Apollodore reprend la tradition hésiodique : Héraclès rencontre Cycnos, décrit comme le fils d'Arès et de Pyrène, alors qu'il est en Macédoine, à la recherche du Jardin des Hespérides. Le combat commence sous les yeux d'Arès, mais est interrompu par un éclair, probablement lancé par Zeus, sans que l'on sache pourquoi : le récit s'arrête là. Hygin offre une version plus logique de l'intervention de Zeus : chez lui, le roi des dieux interrompt le combat qui s'amorce entre son fils et le dieu Arès, après la mort de Cycnos.
CYCNOS
Dans la mythologie grecque, Cycnos (en grec ancien Κύκνος / Kýknos) est le fils d'Arès. Il n'est connu que par sa confrontation avec Héraclès, qui est représentée sur de nombreux vases grecs
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Combat d'Héraclès et Cycnos, amphore attique à figures noires, v. 550-530 av. J.-C., British Museum (B 197)
Le personnage de Cycnos apparaît pour la première fois dans le Bouclier d'Héraclès, un poème pseudo-hésiodique datant de 590-560 av. J.-C.2, entièrement consacré au combat entre Héraclès et lui. L'auteur du Bouclier n'est pas l'inventeur de ce motif, que l'on retrouve également dans des monuments de l'époque archaïque : un groupe statuaire sur l'Acropole d'Athènes, une métope du Trésor des Athéniens à Delphes et un relief du trône d'Apollon à Amyclées5.
Dans le poème, Cycnos est un guerrier thessalien qui dépouille les pèlerins se rendant à Delphes, ce qu'Apollon ne voit évidemment pas d'un très bon œil. Le dieu pousse ainsi Héraclès et Iolaos, montés sur leur char, à passer par son autel à Pagases pour se rendre chez Céyx, roi de Trachis. Ils sont arrêtés par Cycnos, également monté sur son char, qui entend bien dérober l'armure du héros. Le combat prend fin rapidement : Héraclès abat de sa javeline Cycnos, pourtant soutenu par son père Arès, présent à ses côtés. Malgré les avertissements d'Athéna, également présente sur les lieux1, Arès attaque à son tour le héros dans l'idée de venger son fils. Sa javeline est déviée par Athéna ; blessé à la cuisse par Héraclès, il doit s'enfuir, alors qu'Héraclès dépouille Cycnos de ses armes. Céyx, beau-père de Cycnos, lui érige un tombeau qui sera détruit par le dieu-fleuve Anauros sur ordre d'Apollon.
À l'époque romaine, le pseudo-Apollodore reprend la tradition hésiodique : Héraclès rencontre Cycnos, décrit comme le fils d'Arès et de Pyrène, alors qu'il est en Macédoine, à la recherche du Jardin des Hespérides. Le combat commence sous les yeux d'Arès, mais est interrompu par un éclair, probablement lancé par Zeus, sans que l'on sache pourquoi : le récit s'arrête là. Hygin offre une version plus logique de l'intervention de Zeus : chez lui, le roi des dieux interrompt le combat qui s'amorce entre son fils et le dieu Arès, après la mort de Cycnos.
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C comme Charles-Emmanuel Ier de Savoie
Charles-Emmanuel Ier de Savoie, dit le Grand, né au château de Rivoli le 12 janvier 1562, mort à Savigliano le 26 juillet 1630, fut duc de Savoie et prince de Piémont de 1580 à 1630. Il était fils de Emmanuel-Philibert, duc de Savoie et prince de Piémont, et de Marguerite de France (la plus jeune des filles de François Ier).
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ARETHUSE
Dans la mythologie grecque, Aréthuse (en grec ancien Ἀρέθουσα / Aréthousa) est une nymphe du cortège d'Artémis. Étant la fille de Nérée, elle est aussi une Néréide.
Un jour, fatiguée, elle s'arrête au bord de la rivière Alphée pour s'y baigner, et inspire ainsi de l'amour au dieu de ce fleuve. Pour échapper à sa poursuite, elle s'enfuit jusqu'en Sicile et implore le secours d'Artémis qui, après avoir tenté de la cacher dans un nuage, la change en fontaine. L'Alphée mêle alors ses eaux à celles d'Aréthuse qui disparaissent pour venir rejaillir à Ortygie, île voisine de Syracuse, où elles forment une fontaine d'eau douce bien qu'entourée des eaux salées de la mer. Elle dit à Déméter où était sa fille quand Hadès prit Perséphone pour l'emmener aux enfers car Éros, fils d'Aphrodite, lui avait jeté une flèche amoureuse : Aphrodite ne supportait pas de voir des déesses célibataires.
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Alphée poursuivant Aréthuse
Les Idylles de Théocrite ainsi que la dixième églogue des Bucoliques de Virgile mentionne Aréthuse.
ARETHUSE
Dans la mythologie grecque, Aréthuse (en grec ancien Ἀρέθουσα / Aréthousa) est une nymphe du cortège d'Artémis. Étant la fille de Nérée, elle est aussi une Néréide.
Un jour, fatiguée, elle s'arrête au bord de la rivière Alphée pour s'y baigner, et inspire ainsi de l'amour au dieu de ce fleuve. Pour échapper à sa poursuite, elle s'enfuit jusqu'en Sicile et implore le secours d'Artémis qui, après avoir tenté de la cacher dans un nuage, la change en fontaine. L'Alphée mêle alors ses eaux à celles d'Aréthuse qui disparaissent pour venir rejaillir à Ortygie, île voisine de Syracuse, où elles forment une fontaine d'eau douce bien qu'entourée des eaux salées de la mer. Elle dit à Déméter où était sa fille quand Hadès prit Perséphone pour l'emmener aux enfers car Éros, fils d'Aphrodite, lui avait jeté une flèche amoureuse : Aphrodite ne supportait pas de voir des déesses célibataires.
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Alphée poursuivant Aréthuse
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E comme Étienne III de Moldavie
Ștefan cel Mare (Étienne le Grand ou Étienne III Mușat de Moldavie pour les historiens, dit aussi Ștefan cel Mare şi Sfânt soit Saint-Étienne le Grand pour les orthodoxes, depuis sa canonisation par l'église orthodoxe roumaine en 1992), est un voïvode de la Principauté de Moldavie qui a régné durant 47 ans entre 1457 et 1504. Étienne le Grand est membre de la famille des Mușatini. Il est né en 1433 à Borzești et mort le 2 juillet 1504 à Suceava. Il est célébré en Roumanie et Moldavie pour sa résistance contre l'Empire ottoman, résistance qui, de son vivant, lui a valu d'être qualifié de « champion du Christ » par le pape.
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E comme Étienne III de Moldavie
Ștefan cel Mare (Étienne le Grand ou Étienne III Mușat de Moldavie pour les historiens, dit aussi Ștefan cel Mare şi Sfânt soit Saint-Étienne le Grand pour les orthodoxes, depuis sa canonisation par l'église orthodoxe roumaine en 1992), est un voïvode de la Principauté de Moldavie qui a régné durant 47 ans entre 1457 et 1504. Étienne le Grand est membre de la famille des Mușatini. Il est né en 1433 à Borzești et mort le 2 juillet 1504 à Suceava. Il est célébré en Roumanie et Moldavie pour sa résistance contre l'Empire ottoman, résistance qui, de son vivant, lui a valu d'être qualifié de « champion du Christ » par le pape.
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Re: Jeu historique
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ILIONE
Roi des Bistones en Thrace, Polymestor (ou Polymnestor) fut marié à Ilioné, la fille aînée du roi Priam et d'Hécube.
Pendant la guerre de Troie, les deux époux reçurent la garde du trésor de Troie et celle du jeune Polydore (ou Polydoros), un des fils de Priam et d'Hécube qu'ils élevèrent comme leur propre fils.
• Au moment de la chute de la cité, Polymestor voulut tuer Polydore, mais il se trompa et égorgea son propre fils Déipyle. En fait Ilioné avait interverti les enfants dès leur plus jeune âge.
Plus tard Polydore alla consulter l'oracle de Delphes, qui l'informa que son père et sa mère étaient morts, et sa patrie en cendres. Etonné, et ne voyant rien de semblable autour de lui, il interrogea celle qu'il pensait être sa mère. Ilioné lui apprit la vérité et sur ses conseils elle aveugla et tua Polymestor.
• On dit aussi que Polymestor, convoitant l'or qui lui a été confié, obtint des Grecs, en échange du meurtre de Polydore, le droit de conserver les richesses : le corps du jeune enfant, jeté à la mer, échoua sur le rivage de la Troade et fut aperçu par Hécube. Celle-ci convoqua alors Polymestor sous un faux prétexte et lui arracha les yeux. Avant de mourir, il prophétisa qu'Hécube se transformerait en une chienne aux yeux de feu.
• On raconte enfin que, prisonnier des Grecs, Polydore était destiné à être échangé contre Hélène. Mais les Troyens ayant refusé ce marché, Polydore aurait été lapidé.
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Hécube aveuglant Polymestor par CRESPI
( Musées Royaux des Beaux-Arts, Brussels)
ILIONE
Roi des Bistones en Thrace, Polymestor (ou Polymnestor) fut marié à Ilioné, la fille aînée du roi Priam et d'Hécube.
Pendant la guerre de Troie, les deux époux reçurent la garde du trésor de Troie et celle du jeune Polydore (ou Polydoros), un des fils de Priam et d'Hécube qu'ils élevèrent comme leur propre fils.
• Au moment de la chute de la cité, Polymestor voulut tuer Polydore, mais il se trompa et égorgea son propre fils Déipyle. En fait Ilioné avait interverti les enfants dès leur plus jeune âge.
Plus tard Polydore alla consulter l'oracle de Delphes, qui l'informa que son père et sa mère étaient morts, et sa patrie en cendres. Etonné, et ne voyant rien de semblable autour de lui, il interrogea celle qu'il pensait être sa mère. Ilioné lui apprit la vérité et sur ses conseils elle aveugla et tua Polymestor.
• On dit aussi que Polymestor, convoitant l'or qui lui a été confié, obtint des Grecs, en échange du meurtre de Polydore, le droit de conserver les richesses : le corps du jeune enfant, jeté à la mer, échoua sur le rivage de la Troade et fut aperçu par Hécube. Celle-ci convoqua alors Polymestor sous un faux prétexte et lui arracha les yeux. Avant de mourir, il prophétisa qu'Hécube se transformerait en une chienne aux yeux de feu.
• On raconte enfin que, prisonnier des Grecs, Polydore était destiné à être échangé contre Hélène. Mais les Troyens ayant refusé ce marché, Polydore aurait été lapidé.
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Hécube aveuglant Polymestor par CRESPI
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Re: Jeu historique
LES POTES.
I comme Iyasou Ier d'Éthiopie
Iyasou Ier (né en 1654 et mort le 13 octobre 1706) fut Négus d’Éthiopie de 1682 à 1706 sous le nom d'Adyam Sagad Ier.
I comme Iyasou Ier d'Éthiopie
Iyasou Ier (né en 1654 et mort le 13 octobre 1706) fut Négus d’Éthiopie de 1682 à 1706 sous le nom d'Adyam Sagad Ier.
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Re: Jeu historique
Merci pour ton clique super SERGIO ...
Pas grave...
BALADURE si c'est pas des histoires ça ...
Pas grave...
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TH
EN PASSANT MERCI POUR TES MAILS MON POTO
L comme LA FAYETTE
BONNE SOIREE A TOI ET BON MATCH
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Re: Jeu historique
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FAIM
La Faim, divinité, est fille de la Nuit. Virgile la place aux portes des Enfers, et d'autres sur les bords du Cocyte. D'ordinaire, on la représente accroupie dans un champ aride, où quelques arbres dépouillés de feuillage ne présentent qu'un ombrage triste et rare ; elle arrache avec ses ongles quelques plantes infertiles.
Les Lacédémoniens avaient à Chalciœcon, dans le temple de Minerve, un tableau de la Faim, dont la vue était effrayante. Elle était représentée dans ce temple sous la figure d'une femme hâve, pâle, abattue, d'une maigreur extrême, ayant les tempes creuses, la peau du front sèche et étirée, les yeux éteints, enfoncés dans la tête, les joues plombées, les lèvres livides, enfin, les bras décharnés ainsi que les mains qu'elle avait liées derrière le dos. Ovide a fait de la Faim une description qui n'est pas moins effrayante.
On ne peut décrire la Faim ou la Famine sans reporter ses souvenirs vers la fable d'Érésichton, fils de Driops et aïeul maternel d'Ulysse.
Il méprisait les dieux ; et ne leur offrait jamais de sacrifices. Il eut la témérité de profaner à coups de hache une antique forêt consacrée à Cérès et dont les arbres étaient habités par autant de dryades. La déesse chargea la Faim, ou la Famine, de le punir de son impiété. Le monstre pénétra au fond des entrailles de ce malheureux pendant qu'il dormait.
En vain Érésichton fit appel aux ressources de sa fille, Métra, aimée de Neptune et qui avait obtenu de ce dieu le don de prendre toutes les formes de la nature ; l'infortuné père, en proie à une faim dévorante, que rien ne pouvait calmer, finit par se dévorer lui-même.
FAIM
La Faim, divinité, est fille de la Nuit. Virgile la place aux portes des Enfers, et d'autres sur les bords du Cocyte. D'ordinaire, on la représente accroupie dans un champ aride, où quelques arbres dépouillés de feuillage ne présentent qu'un ombrage triste et rare ; elle arrache avec ses ongles quelques plantes infertiles.
Les Lacédémoniens avaient à Chalciœcon, dans le temple de Minerve, un tableau de la Faim, dont la vue était effrayante. Elle était représentée dans ce temple sous la figure d'une femme hâve, pâle, abattue, d'une maigreur extrême, ayant les tempes creuses, la peau du front sèche et étirée, les yeux éteints, enfoncés dans la tête, les joues plombées, les lèvres livides, enfin, les bras décharnés ainsi que les mains qu'elle avait liées derrière le dos. Ovide a fait de la Faim une description qui n'est pas moins effrayante.
On ne peut décrire la Faim ou la Famine sans reporter ses souvenirs vers la fable d'Érésichton, fils de Driops et aïeul maternel d'Ulysse.
Il méprisait les dieux ; et ne leur offrait jamais de sacrifices. Il eut la témérité de profaner à coups de hache une antique forêt consacrée à Cérès et dont les arbres étaient habités par autant de dryades. La déesse chargea la Faim, ou la Famine, de le punir de son impiété. Le monstre pénétra au fond des entrailles de ce malheureux pendant qu'il dormait.
En vain Érésichton fit appel aux ressources de sa fille, Métra, aimée de Neptune et qui avait obtenu de ce dieu le don de prendre toutes les formes de la nature ; l'infortuné père, en proie à une faim dévorante, que rien ne pouvait calmer, finit par se dévorer lui-même.
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Tout le monde.
A comme Achot Ier d'Ibérie
Achot Ier d'Ibérie, dit Achot Ier le Curopalate (en géorgien : აშოტ I კურაპალატი, Achot I Kurapalati), est un prince-primat d'Ibérie pour le Calife et le Basileus qui lui accorde le titre de curopalate (fin du VIIIe siècle - 20 janvier 830[1]).
A comme Achot Ier d'Ibérie
Achot Ier d'Ibérie, dit Achot Ier le Curopalate (en géorgien : აშოტ I კურაპალატი, Achot I Kurapalati), est un prince-primat d'Ibérie pour le Calife et le Basileus qui lui accorde le titre de curopalate (fin du VIIIe siècle - 20 janvier 830[1]).
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Re: Jeu historique
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HECTOR
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Achille tuant Hector par RUBENS ( Musée de Pau)
Héros troyens de la Guerre de Troie
Hector, fils de Priam et d'Hécube, époux d'Andromaque, père d'Astyanax, le plus fort et le plus vaillant des Troyens, défendit énergiquement sa patrie contre l'armée des Grecs. Il sortit avec gloire de plusieurs combats contre les plus redoutables guerriers, tels qu'Ajax, Diomède, etc...
Les oracles avaient prédit que l'empire de Priam ne pourrait être détruit tant que vivrait le courageux Hector. Durant la retraite d'Achille, il porta le feu jusque dans les vaisseaux ennemis et tua Patrocle qui voulait s'opposer à ses progrès. Le désir de la vengeance rappelle Achille au combat. À la vue de ce terrible guerrier, Hécube et Priam tremblent pour les jours de leur fils et lui font les plus vives instances pour le dissuader d'engager le combat ; mais il est inexorable, et, lié par son destin, il attend son rival.
Apollon l'abandonne. Minerve, sous la figure de son frère Déiphobe, le trompe et le livre à la mort. Après lui avoir ôté la vie, Achille l'expose à la lâche fureur des Grecs, attache à son char le cadavre du vaincu et le traîne indignement plusieurs fois autour de la ville. Enfin, Apollon reproche aux dieux leur injustice. Thétis et Iris sont chargées par Jupiter, l'une de disposer Achille à rendre le corps, et l'autre d'ordonner à Priam de lui porter des présents capables d'apaiser sa colère. Priam vient en suppliant baiser la main sanglante du meurtrier de son fils, et s'humilier à ses genoux.
Le corps est rendu ; et Apollon, qui a protégé Hector de son vivant, à la prière de Vénus, prend le même soin de lui après sa mort, et empêche qu'il ne soit défiguré par les mauvais traitements d'Achille.
HECTOR
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Achille tuant Hector par RUBENS ( Musée de Pau)
Héros troyens de la Guerre de Troie
Hector, fils de Priam et d'Hécube, époux d'Andromaque, père d'Astyanax, le plus fort et le plus vaillant des Troyens, défendit énergiquement sa patrie contre l'armée des Grecs. Il sortit avec gloire de plusieurs combats contre les plus redoutables guerriers, tels qu'Ajax, Diomède, etc...
Les oracles avaient prédit que l'empire de Priam ne pourrait être détruit tant que vivrait le courageux Hector. Durant la retraite d'Achille, il porta le feu jusque dans les vaisseaux ennemis et tua Patrocle qui voulait s'opposer à ses progrès. Le désir de la vengeance rappelle Achille au combat. À la vue de ce terrible guerrier, Hécube et Priam tremblent pour les jours de leur fils et lui font les plus vives instances pour le dissuader d'engager le combat ; mais il est inexorable, et, lié par son destin, il attend son rival.
Apollon l'abandonne. Minerve, sous la figure de son frère Déiphobe, le trompe et le livre à la mort. Après lui avoir ôté la vie, Achille l'expose à la lâche fureur des Grecs, attache à son char le cadavre du vaincu et le traîne indignement plusieurs fois autour de la ville. Enfin, Apollon reproche aux dieux leur injustice. Thétis et Iris sont chargées par Jupiter, l'une de disposer Achille à rendre le corps, et l'autre d'ordonner à Priam de lui porter des présents capables d'apaiser sa colère. Priam vient en suppliant baiser la main sanglante du meurtrier de son fils, et s'humilier à ses genoux.
Le corps est rendu ; et Apollon, qui a protégé Hector de son vivant, à la prière de Vénus, prend le même soin de lui après sa mort, et empêche qu'il ne soit défiguré par les mauvais traitements d'Achille.
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Re: Jeu historique
Les amis.
C comme Cyrus le Grand
Cyrus II (roi vers 559 av. J.-C. à 530 av. J.-C.), dit Cyrus le Grand, est le fondateur de l’Empire perse (qui correspond grossièrement à l'Iran actuel), successeur du royaume mède. Il appartient à la dynastie des Achéménides. Son règne a été marqué par des conquêtes d'une ampleur sans précédent historique : après avoir soumis les Mèdes, il a placé sous sa coupe le royaume de Lydie et les cités grecques de Ionie, puis l'Empire babylonien (comprenant alors la Mésopotamie, la Syrie, les cités phéniciennes et la Judée). Il trouva la mort au cours d'une campagne militaire contre les Massagètes. Son règne marque donc un tournant dans l'histoire du monde antique.
C comme Cyrus le Grand
Cyrus II (roi vers 559 av. J.-C. à 530 av. J.-C.), dit Cyrus le Grand, est le fondateur de l’Empire perse (qui correspond grossièrement à l'Iran actuel), successeur du royaume mède. Il appartient à la dynastie des Achéménides. Son règne a été marqué par des conquêtes d'une ampleur sans précédent historique : après avoir soumis les Mèdes, il a placé sous sa coupe le royaume de Lydie et les cités grecques de Ionie, puis l'Empire babylonien (comprenant alors la Mésopotamie, la Syrie, les cités phéniciennes et la Judée). Il trouva la mort au cours d'une campagne militaire contre les Massagètes. Son règne marque donc un tournant dans l'histoire du monde antique.
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Re: Jeu historique
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M comme Mélusine
Mélusine est une femme légendaire du Poitou, d'Alsace, de Lorraine, de Champagne, du Luxembourg et d'Allemagne souvent vue comme fée, et issue des contes populaires et chevaleresques du Moyen Âge. Très ancienne, elle est pour les mythologues la « mater lucina » romaine qui présidait aux naissances, ou une divinité celte, protectrice de la Font-de-Sé (fontaine de la soif). Il pourrait également s’agir de la Lyké des Grecs, de la Mélugina des Ligures ou de la Milouziena des Scythes, dont le peuple serait issu d’Héraclès et d’Échidna, elle-même a une queue de serpent et des ailes de chauve-souris. Les Scythes dits « Taïfales » auraient en effet pris pied avec l’armée romaine dans le Poitou où ils auraient fondé la ville de Tiffauges. Pour les Gaulois, elle serait plutôt une sorte de Parque du nom de Mélicine (la tisseuse), d’où le thème de la destinée, très présent dans le mythe de Mélusine.
M comme Mélusine
Mélusine est une femme légendaire du Poitou, d'Alsace, de Lorraine, de Champagne, du Luxembourg et d'Allemagne souvent vue comme fée, et issue des contes populaires et chevaleresques du Moyen Âge. Très ancienne, elle est pour les mythologues la « mater lucina » romaine qui présidait aux naissances, ou une divinité celte, protectrice de la Font-de-Sé (fontaine de la soif). Il pourrait également s’agir de la Lyké des Grecs, de la Mélugina des Ligures ou de la Milouziena des Scythes, dont le peuple serait issu d’Héraclès et d’Échidna, elle-même a une queue de serpent et des ailes de chauve-souris. Les Scythes dits « Taïfales » auraient en effet pris pied avec l’armée romaine dans le Poitou où ils auraient fondé la ville de Tiffauges. Pour les Gaulois, elle serait plutôt une sorte de Parque du nom de Mélicine (la tisseuse), d’où le thème de la destinée, très présent dans le mythe de Mélusine.
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Re: Jeu historique
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AJAX
Dans la mythologie grecque, Ajax (en grec ancien Αἴας Τελαμώνιος / Aías Telamốnios), fils de Télamon (roi de Salamine) et de Péribée, est un héros de la guerre de Troie. Il ne doit pas être confondu avec son homonyme Ajax fils d'Oïlée.
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Ajax le grand affrontant un Troyen, fronton ouest du temple d'Aphaïa à Égine, v. 500 av. J.-C., Glyptothèque de Munich (Inv. 80)
Ajax, fils de Télamon
Ajax, fils de Télamon, et son frère Teucer
Autres héros grecs de la Guerre de Troie
Télamon, frère de Pélée, chassé d'Égine par son père Eaque, à la suite d'un meurtre involontaire, devint roi de Salamine. C'était un ami d'Hercule et l'un des plus vaillants Argonautes. N'ayant pu, à cause de son grand âge, prendre part à la guerre de Troie, il y envoya ses deux fils, Ajax, né de Péribée, princesse de Mégare, et Teucer, issu d'Hésione, sœur de Priam.
Ajax fut, après Achille, le plus vaillant des Grecs, et, comme lui, fier, emporté, invulnérable même, excepté dans un endroit de la poitrine que lui seul connaissait. Il se montrait hardi, provocateur même vis-à-vis des dieux. Il se distingua au siège de Troie où il commandait les guerriers de Mégare et de Salamine. Il se battit pendant un jour entier contre Hector sans se laisser vaincre.
Achille mort, Ajax et Ulysse se disputèrent ses armes. Ulysse l'emporta ; et Ajax en devint si furieux que, pendant la nuit, il massacra tous les troupeaux du camp, croyant tuer son rival et les capitaines de l'armée. Revenu de son délire, et confus de son égarement, il tourna son épée contre son sein et se donna la mort.
Calchas, consulté si on brûlerait le corps d'Ajax, décida que, étant mort impie, il ne méritait pas les honneurs du bûcher. Cependant les Grecs lui érigèrent un monument sur le promontoire de Rhœtée, dans la Troade. On raconte que l'âme d'Ajax, ayant la liberté de choisir un corps pour revenir habiter la terre, préféra celui du lion à celui de l'homme.
Suivant Ovide, Ajax, après sa mort, fut changé en fleur ; et les deux premières lettres de son nom se trouvaient tracées sur cette fleur que le poète nomme hyacinthe.
Ulysse avant perdu dans une tempête les armes d'Achille, les flots les portèrent sur le rivage près du tombeau d'Ajax. Les dieux en faisaient ainsi un hommage posthume au héros.
Teucer ne vengea point l'affront fait à son frère Ajax, et ne l'empêcha pas de se tuer. Cette indifférence le rendit odieux à Télamon qui lui intima l'ordre de ne jamais remettre les pieds dans l’île de Salamine, Il alla donc chercher fortune ailleurs, et, abordant à l’île de Chypre, il y bâtit une ville à laquelle il donna le nom du royaume de son père. Homère dit que Teucer était le plus adroit archer de l'armée des Grecs.
AJAX
Dans la mythologie grecque, Ajax (en grec ancien Αἴας Τελαμώνιος / Aías Telamốnios), fils de Télamon (roi de Salamine) et de Péribée, est un héros de la guerre de Troie. Il ne doit pas être confondu avec son homonyme Ajax fils d'Oïlée.
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Ajax le grand affrontant un Troyen, fronton ouest du temple d'Aphaïa à Égine, v. 500 av. J.-C., Glyptothèque de Munich (Inv. 80)
Ajax, fils de Télamon
Ajax, fils de Télamon, et son frère Teucer
Autres héros grecs de la Guerre de Troie
Télamon, frère de Pélée, chassé d'Égine par son père Eaque, à la suite d'un meurtre involontaire, devint roi de Salamine. C'était un ami d'Hercule et l'un des plus vaillants Argonautes. N'ayant pu, à cause de son grand âge, prendre part à la guerre de Troie, il y envoya ses deux fils, Ajax, né de Péribée, princesse de Mégare, et Teucer, issu d'Hésione, sœur de Priam.
Ajax fut, après Achille, le plus vaillant des Grecs, et, comme lui, fier, emporté, invulnérable même, excepté dans un endroit de la poitrine que lui seul connaissait. Il se montrait hardi, provocateur même vis-à-vis des dieux. Il se distingua au siège de Troie où il commandait les guerriers de Mégare et de Salamine. Il se battit pendant un jour entier contre Hector sans se laisser vaincre.
Achille mort, Ajax et Ulysse se disputèrent ses armes. Ulysse l'emporta ; et Ajax en devint si furieux que, pendant la nuit, il massacra tous les troupeaux du camp, croyant tuer son rival et les capitaines de l'armée. Revenu de son délire, et confus de son égarement, il tourna son épée contre son sein et se donna la mort.
Calchas, consulté si on brûlerait le corps d'Ajax, décida que, étant mort impie, il ne méritait pas les honneurs du bûcher. Cependant les Grecs lui érigèrent un monument sur le promontoire de Rhœtée, dans la Troade. On raconte que l'âme d'Ajax, ayant la liberté de choisir un corps pour revenir habiter la terre, préféra celui du lion à celui de l'homme.
Suivant Ovide, Ajax, après sa mort, fut changé en fleur ; et les deux premières lettres de son nom se trouvaient tracées sur cette fleur que le poète nomme hyacinthe.
Ulysse avant perdu dans une tempête les armes d'Achille, les flots les portèrent sur le rivage près du tombeau d'Ajax. Les dieux en faisaient ainsi un hommage posthume au héros.
Teucer ne vengea point l'affront fait à son frère Ajax, et ne l'empêcha pas de se tuer. Cette indifférence le rendit odieux à Télamon qui lui intima l'ordre de ne jamais remettre les pieds dans l’île de Salamine, Il alla donc chercher fortune ailleurs, et, abordant à l’île de Chypre, il y bâtit une ville à laquelle il donna le nom du royaume de son père. Homère dit que Teucer était le plus adroit archer de l'armée des Grecs.
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Re: Jeu historique
les amis
SATYRES
Compagnons de Dionysos les satyres accompagnent aussi d'autres divinités comme Rhéa, Gaia, Hermès, Héphaïstos ou des nymphes. Ils sont associés aux Ménades dans le cortège de Dionysos.
Nonnos dit qu'ils étaient les fils d'Hermès et de Iphtimé mais il existe d'autres auteurs citent les naïades.
Les satyres apparaissent peu dans les récits mythologiques mais certains ont acquis une notoriété individuelle comme Marsyas ou Silène.
Homère n'en parle pas en revanche dans un fragment de texte attribué à Hésiode ils sont décrits comme des être bons à rien, passant leur temps à courir après les nymphes, effrayer les paysans et à s'énivrer en jouant de l'aulos.
Ils sont l'exemple même de la luxuriante vitalité de la nature et à ce titre ils ont souvent une représentation ithyphallique.
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Dionysos et Satyres (c. -540 )
SATYRES
Compagnons de Dionysos les satyres accompagnent aussi d'autres divinités comme Rhéa, Gaia, Hermès, Héphaïstos ou des nymphes. Ils sont associés aux Ménades dans le cortège de Dionysos.
Nonnos dit qu'ils étaient les fils d'Hermès et de Iphtimé mais il existe d'autres auteurs citent les naïades.
Les satyres apparaissent peu dans les récits mythologiques mais certains ont acquis une notoriété individuelle comme Marsyas ou Silène.
Homère n'en parle pas en revanche dans un fragment de texte attribué à Hésiode ils sont décrits comme des être bons à rien, passant leur temps à courir après les nymphes, effrayer les paysans et à s'énivrer en jouant de l'aulos.
Ils sont l'exemple même de la luxuriante vitalité de la nature et à ce titre ils ont souvent une représentation ithyphallique.
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Dionysos et Satyres (c. -540 )
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Re: Jeu historique
Les amis.
Truffandec
Le Truffandec est un esprit du Béarn (du béarnais truffar, « blaguer », « se moquer »).
Il présente deux aspects : d'un côté, il s'agit d'un génie bienveillant du foyer comme il en existe dans toute l'Europe et au-delà (Bannik, Kikimora,...). Et d'un autre, on le considère comme un génie farceur, il chaparde dans les maisons, cachant les ustensiles de la maîtresse de maison.
En particulier, il est tenu responsable des mauvaises fournées de pain. Il imiterait la voix du boulanger du village afin d'inciter les habitants à déposer leur pâte dans le four du village pas assez chaud, gâchant ainsi irrémédiablement la pâte1. Pour prévenir cet incident fâcheux, les ménagères récitaient la veille une prière conjuratoire : A la boutz soule de Pan-Coque / Moun Diu, hètz-me bous desbelha / Que Trufandèc que-s biengue esbrigalha / Lou nas sus ma porte, si ey toque (à la voix seule de Pan-Coque, Mon Dieu, réveillez-moi, que Truffandec vienne s'écraser le nez sur ma porte, s'il y touche). Pan-Coque était le surnom du mitron. Quand elle pétrissait son pain, elle récitait encore une formule commençant par Trufandèc, taa gran traydou, / D'autes cops t'arridou de you... (Truffandec, si grand trompeur, d'autres fois tu t'es moqué de moi...)2.
Truffandec
Le Truffandec est un esprit du Béarn (du béarnais truffar, « blaguer », « se moquer »).
Il présente deux aspects : d'un côté, il s'agit d'un génie bienveillant du foyer comme il en existe dans toute l'Europe et au-delà (Bannik, Kikimora,...). Et d'un autre, on le considère comme un génie farceur, il chaparde dans les maisons, cachant les ustensiles de la maîtresse de maison.
En particulier, il est tenu responsable des mauvaises fournées de pain. Il imiterait la voix du boulanger du village afin d'inciter les habitants à déposer leur pâte dans le four du village pas assez chaud, gâchant ainsi irrémédiablement la pâte1. Pour prévenir cet incident fâcheux, les ménagères récitaient la veille une prière conjuratoire : A la boutz soule de Pan-Coque / Moun Diu, hètz-me bous desbelha / Que Trufandèc que-s biengue esbrigalha / Lou nas sus ma porte, si ey toque (à la voix seule de Pan-Coque, Mon Dieu, réveillez-moi, que Truffandec vienne s'écraser le nez sur ma porte, s'il y touche). Pan-Coque était le surnom du mitron. Quand elle pétrissait son pain, elle récitait encore une formule commençant par Trufandèc, taa gran traydou, / D'autes cops t'arridou de you... (Truffandec, si grand trompeur, d'autres fois tu t'es moqué de moi...)2.
alain90- president d hippodrome
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Re: Jeu historique
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Yvanovitch Mendeleïev (ou Mendeleev) était un chimiste russe. Né en 1834 à Tobolsk et décédé en 1907 à Saint-Pétersbourg.
Yvanovitch Mendeleïev (ou Mendeleev) était un chimiste russe. Né en 1834 à Tobolsk et décédé en 1907 à Saint-Pétersbourg.
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